Déchristianisation : la faute à qui ? Telle est la question posée dans cet article de Boulevard Voltaire [1] où l’auteur fait référence, dès la première phrase, au juif sioniste Finkielkraut, ce qui est déjà un mauvais signe. Tout autant que la réponse affirmative à la question posée dans le titre : « Les raisons de la déchristianisation sont connues. L’effondrement de la pratique, les abus sexuels, le laxisme des mœurs, un paganisme qui touche l’Église elle-même : Dieu est désormais exclu de la société. Certes, la pédophilie dans l’Église a accéléré le processus commencé dans les années 60… »
Voilà ce qui serait à l’origine notre déchristianisation… Il n’y a donc rien sur le travail de sape de la contre-Église depuis 1789. Rien sur la persécution antichrétienne sous la IIIe république. Rien sur la déclaration (maçonnique) des droits de l’homme (« Dieu exclu de la société »). Rien sur la séparation de l’Église et l’État en 1905. Rien sur le conciliabule Vatican II. Rien sur les rencontres interreligieuses d’Assise. Rien sur l’œcuménisme, le modernisme en vigueur à Rome. Rien sur l’infiltration maçonnique dans l’Église officielle. Rien sur l’action judéo-maçonnique du B’naï B’rith. Rien sur les antipapes qui se succèdent et usurpent le Saint-Siège. Rien sur les frasques de Bergoglio etc… En conclusion : c’est le néant. Or quand on pose une question aussi importante, la moindre des choses est d’y répondre dans une démarche de vérité.
Ce serait à cause des abus sexuels que les catholiques perdent la foi ? L’effondrement de la pratique renvoie à l’apostasie. Mais celle-ci n’est pas la cause première de la déchristianisation de la France. Et ce à l’instar de la pédocriminalité, un fléau qui est loin de toucher uniquement l’Église ! Si les catholiques ne vont plus à la messe, s’ils ne croient plus, s’ils ne prient plus, c’est qu’il y a des raisons. Mais ces raisons profondes sont étrangement éludées dans cet article. Quant à la paganisation dans l’Église, elle n’est qu’une conséquence de l’esprit moderniste et œcuménique prôné par les promoteurs de Vatican II. En bref et en quelques phrases, l’auteur de BV ne fait que constater les dégâts sans jamais désigner les causes ni les responsables de cette déchristianisation.
Pour mieux cerner la problématique de l’apostasie des nations, je recommande vivement l’étude des ouvrages suivants : Une loge maçonnique dirige le Vatican, livre qui traite de la crise dans l’Église et retrace 60 ans de révolution conciliaire ; mais aussi Le judaïsme et le Vatican de Léon de Poncins, Mystère d’iniquité de Pierre Virion ou encore Le réseau Rampolla d’Henri Barbier.
Pour rappel, ce sujet avait été longuement analysé lors de cette conférence donnée à Nice en février 2013 :
[1] Site Internet fondé par l’agent de la CIA – car financé par la Ned – et maire de Béziers (RN), Robert Ménard.