Voici comment les délinquants des ARS mettent en danger la vie des médecins français en obligeant ces derniers à se faire vacciner quels que soient leurs antécédents et leurs risques de faire des thromboses qui peuvent se révéler mortelles ! L’histoire du Docteur Jean Panel est juste extraordinaire de violence, de bêtise, d’incompétence et d’inconscience. Il a été traité comme un voyou, tel un délinquant ! On espère qu’il va déposer plainte contre ces malades mentaux qui mettent en danger la vie des Français car il vient véritablement d’échapper à une tentative d’assassinat. Il faut également déposer plainte contre la hiérarchie des ARS, c’est-à-dire le ministère des Solidarités et de la Santé.
Il est du coup certain que ce médecin ne réalisera pas sa dose de rappel au risque d’en mourir, vont-ils maintenant l’exempter de vaccination ? Le Covidisme est véritablement une maladie mentale extrêmement dangereuse qui n’a pas fini de faire du mal.
En dépit de ses 70 ans, le docteur Jean Panel n’envisage pas vraiment l’heure de la retraite. Mais la situation inédite qu’il a vécue lui a porté un coup au moral. « Heureusement que j’ai la patate car la société m’a considéré comme un délinquant, confie-t-il. Pendant 53 jours, j’étais un hors-la-loi. » Ce médecin du sport, installé à Élancourt (Yvelines), a été suspendu du 22 novembre 2021 au 13 janvier 2022 par l’Agence régionale de santé (ARS). Sa faute ? Avoir refusé de se faire vacciner, comme de nombreux autres soignants en France. « Je suis sujet aux phlébites et j’avais entendu que le vaccin comporte des risques, justifie-t-il. Je voulais éviter d’une complication d’embolie pulmonaire, j’étais réticent. Oui, j’ai tardé… »
Le spécialiste continue d’abord d’exercer durant sa suspension, ses patients prenant le risque de plus être remboursés. Puis finit par se résoudre, « sous la pression sociale et familiale », à recevoir une dose de Pfizer le 17 décembre.
« Ce que je redoutais est arrivé dans les jours suivants »
« Ce que je redoutais est arrivé dans les jours suivants, révèle-t-il. J’ai commencé à ressentir une douleur au niveau de l’aine, puis mon pied s’est mis à gonfler. J’ai foncé en pharmacie prendre un traitement d’anticoagulants. J’ai dû obtempérer et j’ai subi une thrombose fémorale profonde avec arrêt de travail qui, si je ne l’avais pas diagnostiquée immédiatement, aurait été suivie d’une embolie pulmonaire, voire d’un décès… Un Doppler, passé chez mon phlébologue le 30 décembre, l’a confirmé. J’ai tout de suite fait le lien avec le vaccin. »
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« J’avais déjà fait un début de phlébite à l’issue d’un entraînement d’athlé, précise le septuagénaire qui s’entretient toujours sur piste. Ce qui me choque le plus dans ma situation, c’est qu’a fortiori quand on est médecin, après douze ans d’études et quarante-cinq ans d’exercice, on a le sens des responsabilités. »
« Aucune contre-indication valable » selon l’ARS
Il estime que l’ARS ne lui a pas fait de cadeaux. « Dans les premiers écrits, on m’appelait docteur Panel puis je suis devenu Monsieur Panel. On m’a aussi prévenu que j’allais passer devant un tribunal pénal, c’est allé très loin. » Un mauvais traitement qu’il estime d’autant plus injuste qu’il a l’impression de rendre service à la société.
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