Les plaintes se multiplient contre les autorités sanitaires ainsi que les médecins qui ont accepté d’injecter ce produit empoisonné. En Suisse, un avocat vient de déposer plainte, cela concerne 6 victimes avec des effets indésirables plus ou moins graves allant jusqu’au décès. Nous apprenons dans cet article que la Suisse a déclaré jusqu’au 24 août 2022 : 15 781 effets indésirable dont 6006 graves, c’est-à-dire 38.1 % ! Comment est-il possible de lire une telle chose, une telle monstruosité, tout en constatant que la campagne d’injection continue ? Avant l’hystérie covidiste, pour 5 effets indésirables graves, le produit aurait été retiré du marché et une enquête diligentée pour comprendre ce qui s’était passé. Aujourd’hui, avec la corruption de la science et de la raison causée par 3 années d’hystérie, plus de 6000 cas d’effets indésirables graves ne semblent pas déranger les autorités. On aimerait bien d’ailleurs comprendre pourquoi la comptabilisation des remontées d’effets indésirables a été arrêtée au 24 août, il y a bientôt 3 mois !
Pour finir, alors que les effets indésirables graves représentent près de 40 % des remontées de pharmacovigilance, en France, les autorités et les morticoles continuent de nier la réalité en affirmant qu’il n’y a pas de danger à se faire injecter encore et encore de leur soupe inefficace…
Lors d’une conférence de presse tenue lundi, l’avocat Philipp Kruse a présenté la plainte qu’il a déposée en juillet dernier devant la justice bernoise au nom de six personnes qui ont subi des effets secondaires importants après avoir été vaccinées contre le Covid-19.
Selon la SRF, qui relate l’affaire, la plainte de 300 pages est dirigée contre trois représentants de l’Autorité suisse d’autorisation et de surveillance des médicaments (Swissmedic) et cinq médecins de l’Inselspital de Berne.
Jusqu’au meurtre
Philipp Kruse est un avocat connu pour ses positions contre la politique de vaccination de la Confédération et les mesures prises dans le cadre de la pandémie. Sa plainte conclut à une violation grave et durable des obligations fondamentales de diligence en matière de droit des produits thérapeutiques en approuvant l’administration des vaccins ARNm contre le Covid-19. D’autres chefs d’accusation sont également évoqués comme des lésions corporelles intentionnelles ou par négligence, la mise en danger de la vie d’autrui et le meurtre.
Effets secondaires
Parmi les six parties plaignantes, les dommages subis sont de diverse gravité : perte de cheveux, déraillement du cycle menstruel, polyarthrite, myocardite, faiblesse musculaire, épuisement chronique et enfin décès d’une personne de 20 ans. Selon l’avocat alémanique, le lien avec la vaccination contre le Covid 19 a été confirmé par des experts dans cinq des cas qu’il défend. Concernant le défunt, le lien de causalité doit encore être prouvé sur la base d’examens pathologiques.
6006 cas graves sur 6,1 millions
Pour rappel, les deux principaux vaccins en Suisse, Moderna et Pfizer/BioNTech sont tous deux basés sur la technologie ARNm. Selon les chiffres d’août 2022, 15 781 déclarations d’effets indésirables présumés de vaccins avaient été évaluées en Suisse. 9775 (61,9%) faisaient état d’effets présumés « non graves » et 6006 (38,1%) portaient sur des effets présumés « graves ». Rappelons qu’à fin juin 2022, 6 120 101 personnes avaient été vaccinées en Suisse.
Eric Felley
15 novembre 2022