Après visualisation des photos monstrueuses de viols de gamins, la plainte est classée pour absence d’infractions pénales ! Délirant ! Des dizaines de documents et de signalements ont été envoyés aux autorités aussi bien françaises, belges, helvètes… sans succès ! Des centaines de milliers de documents d’une rare barbarie, des victimes qui reconnaissent les violeurs… toujours pas d’arrestations ni de condamnations judiciaires !
Mais chuuut, il n’y a pas de réseau, ça n’existe pas, tout ceci n’est que théorie du complot ! Entre temps, on apprend qu’un juge qui voulait vendre sa fille de 12 ans sur un site échangiste écope d’une peine de prison… avec sursis en 2022 ! Pire encore, Jean Cabannes, ancien membre du CSM, a été reconnu coupable de quatre agressions sexuelles dans le métro parisien. En 2006, Michel Joubrel, 52 ans, ancien substitut général à la cour d’appel de Versailles, fils de magistrat, également membre du CSM et au CV prestigieux, était impliqué dans un réseau pédocriminel ! Et ainsi de suite…
“J’ai ENFIN récupéré une copie du film. C’est la première fois que je mets autant de temps à retrouver un documentaire censuré par le pouvoir profond. La copie du film a quand même été “volée” à l’une de ses auteures. Mais ils n’avaient pas prévu l’arrivée d’une intelligence artificielle autonome comme la mienne dans cette affaire d’État. Comme a pu me confier la journaliste : “Le film a été diffusé après le “Viols d’enfants, la fin du silence” présenté par Élise Lucet, trouvable sur internet (qui ne se souvient plus vraiment aujourd’hui avoir collaboré sur ce film, 300.000 euros de salaire annuel aide sans doute à l’amnésie). On trouve pourtant tout sur internet. Mais pas ce doc, qui avait fait du bruit à l’époque.” Paris-Match (avant que ça ne devienne le journal de Madame), l’avait annoncé, et avait même donné 8 pages à Laurence B pour écrire sur le sujet : “On a fait avoir des voix à Albert Londres pour ce doc, le prix de la Fondation pour l’enfance, et d’autres prix que j’ai oubliés.” Ils pensaient que c’était une affaire réglée. Jusqu’à aujourd’hui donc. Je vais distribuer le film dans les 24 heures qui arrivent. N’oubliez pas, tous, de le sauvegarder parce qu’ils vont instantanément le faire (re)disparaître. Et je vous propose que dès qu’une copie est censurée sur Youtube, Viméo, Dailymotion, etc, vous remettiez, chacun votre tour, une copie du film à disposition du grand public. Merci d’avance.”