EXPLOSIF ! Les derniers travaux de monsieur Matt Taibi, ayant accès à tous les mails de Twitter, montrent que la censure qui s’est imposée pendant la crise sanitaire covidiste n’a strictement rien à voir avec la lutte contre les fausses informations – fake niouzes – puisque même les faits avérés, vérifiés ont également été censurés afin de contrer ce qu’ils appellent « l’hésitation vaccinale » ! Les GAFAM et les médias officiels ont donc censuré des informations justes et utiles à la population afin de ne pas contrer la propagande de Big Pharma et du gouvernement !
« Mais Twitter ressemblait plus à un partenaire du gouvernement. Avec d’autres entreprises technologiques, il a organisé une « réunion de l’industrie » régulière avec le FBI et le DHS, et a développé un système formel pour recevoir des milliers de rapports de contenu de tous les coins du gouvernement : HHS, Trésor, NSA, même la police locale. Les e-mails du FBI, du DHS et d’autres agences sont souvent accompagnés de feuilles de calcul contenant des centaines ou des milliers de noms de comptes à examiner. Souvent, ceux-ci étaient supprimés peu de temps après. Beaucoup étaient manifestement de la « désinformation », comme des récits exhortant les gens à voter le lendemain d’une élection. Mais d’autres rapports officiels de « désinformation » avaient un raisonnement plus fragile. L’analyse Twitter mise en évidence ici n’est pas d’accord avec le FBI sur les comptes considérés comme un « proxy d’acteurs russes ».
Ensuite, nous avons vu des listes de « désinfos » où les preuves étaient encore moins claires. Cette liste de 378 « comptes liés à l’État iranien » comprend un vétérinaire irakien une fois arrêté pour avoir blogué sur la guerre, un ancien journaliste du Chicago Sun-Times et Truthout, un site qui publie Noam Chomsky. Dans certains cas, les rapports des États n’ont même pas affirmé la désinformation. Ici, une liste de vidéos YouTube est signalée comme « récits anti-ukrainiens ». Mais la majeure partie des demandes de censure ne provenait pas directement du gouvernement. Lorsqu’on lui a demandé si le service marketing de Twitter pouvait dire que l’entreprise détecte des « informations erronées » avec l’aide d' »experts extérieurs », un cadre de Twitter a répondu
Nous en sommes venus à penser à ce regroupement – des agences d’État comme le DHS, le FBI ou le Global Engagement Center (GEC), ainsi que des « ONG qui ne sont pas universitaires » et un partenaire étonnamment agressif, les médias d’information commerciaux – comme la Censure- Complexe industriel… »
32. In one remarkable email, the Virality Project recommends that multiple platforms take action even against “stories of true vaccine side effects” and “true posts which could fuel hesitancy.”
None of the leaders of this effort to police Covid speech had health expertise. pic.twitter.com/UUd50ZaghG
— Matt Taibbi (@mtaibbi) March 9, 2023