Mon Dieu que tout ceci vieillit très mal, mon Dieu comment les professeurs de médecine et des avocats ont-ils pu se ridiculiser à ce point et plonger dans l’indignité la plus honteuse ? Dans une tribune que Le Parisien a publiée, cosignée par le professeur en hématologie David Smadja et l’avocat parisien Me Benjamin Fellous, ces derniers ont fait savoir qu’ils militaient pour des poursuites pénales contre ceux qui refusent le vaccin et contaminent d’autres personnes, ainsi qu’à l’encontre de ceux relayant des fake niouzes (sic) sur la pandémie.
Comme vous pouvez le constater dans le texte de la tribune ci-dessous, cette dernière est truffée de mensonges et de fake niouzes. Non, la crise n’est pas sans précédent, nous avons déjà vécu une telle situation, ne serait-ce qu’en 2009 avec la fausse pandémie de grippe A H1N1 sanctionnée par un rapport du Sénat au vitriol. De surcroît, il n’est pas possible d’affirmer que les injections d’ARN messager sont capables de venir à bout de la pandémie alors qu’elles ont été fabriquées en moins de 3 mois ! De plus, non, les injections ne sont pas gratuites, elles ont coûté plusieurs milliards d’euros aux contribuables !!! Encore et encore, non ! On ne peut pas mieux convaincre les gens en les menaçant de peines de prison ou d’amendes lourdes, il ne s’agit pas de débat ou de pédagogie mais de chantage, d’extorsion de consentement. Puis, dans cette même tribune, le médecin et l’avocat vont s’appuyer sur une décision du Conseil d’État qui compare des vaccinations qui ont plusieurs décennies de recul avec les thérapies géniques à ARN messager, ce qui est d’une grande stupidité ! Nous n’avons absolument aucun recul sur ces dernières injections et l’explosion spectaculaire des effets indésirables dans le monde entier le démontre. Le seul rapport bihebdomadaire de remontée de pharmacovigilance de l’ANSM le démontre amplement, il suffit de le lire puisqu’il est question d’au minimum 46 900 effets indésirables graves ! Comment les signataires de la tribune peuvaient-ils ignorer un tel document ?
« La France traverse une crise sanitaire sans précédent – Faux – qu’elle est désormais capable d’affronter grâce aux vaccins – Faux – contre la Covid-19 disponibles, gratuits – Faux – et accessibles à l’ensemble de la population. Du passe sanitaire au débat du passe vaccinal, le législateur s’agite alors que l’état du droit actuel permettrait sûrement de mieux protéger, de mieux convaincre – Faux – et plus encore de faire réaliser au concitoyen refusant le vaccin le risque encouru. »
Ensuite, dans un souci de terrorisme sanitaire, on nous explique qu’il s’agit d’un enjeu de santé public majeur alors que c’est totalement faux, la moyenne d’âge des décès dus au Covid-19 est supérieure à l’espérance de vie ! Les moins de 60 ans ne sont quasiment pas touchés, ils sont tous morts des suites de nombreuses comorbidités sous-jacentes. Concernant la contagiosité du virus, c’est totalement faux car elle se mesure avec le R0 qui n’a jamais dépassé le chiffre 2 ! Il a rarement dépassé les 1.5, en d’autres termes un malade ne peut même pas contaminer un autre malade il en faut 2 pour en contaminer un 3e ! Au niveau de l’épidémiologie, c’était un virus peu contagieux. D’ailleurs, avec un R0 égal à 2, l’immunité collective est atteinte avec l’injection de 50 % de la population seulement, ce qui a été atteint depuis longtemps et qui rend l’obligation vaccinale totalement obsolète et stupide. Mais on imagine que le professeur en médecine ne connaît pas ses fondamentaux… quant à la gravité qui peut vous conduire à la mort, encore une fois elle n’est pas plus importante que celle d’autres maladies qui ne nécessitent aucune obligation vaccinale et encore moins des pass sanitaires comme la tuberculose pulmonaire ou la grippe par exemple ! Pourquoi donc le Covid-19 et pas les autres ? On peut ajouter les chiffres du rapport de l’ATIH de 2020 qui revient sur le taux d’occupation des lits par les covidés, qui est de 2.3 %, un taux tout simplement ridicule par rapport au nombre total de lits et des capacités d’accueil du système hospitalier français !
« En effet, il est indéniable que nous faisons face à un enjeu de santé publique majeur – Faux – dont le centre de gravité est un virus à la contagiosité importante – Faux – et d’une gravité pouvant conduire à la mort – Faux. »
Le plus gros mensonge de cette tribune, publiée en janvier 2022, réside dans le fait d’affirmer que la vaccination évite la transmission du virus alors que c’est totalement faux et confirmé par Pfizer lui-même via sa représentante Janine Small ! Comment pouvaient-ils le savoir alors qu’ils ne l’ont même pas testée ? En d’autres termes, un professeur de médecine et un avocat veulent harceler judiciairement des personnes non-injectées avec un produit sous AMM conditionnelle alors que les vaccinés eux-mêmes transmettent le virus, qu’ils soient symptomatiques ou asymptomatiques ! Ce n’est plus de la science, ce n’est même pas du charlatanisme, c’est au-delà des mots que peuvent contenir tous les dictionnaires de toutes les langues humaines !
« Si la machine pénale s’est mise durement en mouvement contre Agnès Buzyn autour, notamment, de ce qui constituait une barrière au virus, à savoir les masques, désormais la loi pénale doit et devrait s’appliquer à l’encontre de ceux qui transmettraient le virus alors même qu’ils pourraient l’éviter via une vaccination. Faux »
Ensuite, l’avocat, se croyant très intelligent, va comparer la contamination du Covid-19 avec celle résultant des rapports sexuels entre porteurs du Sida-VIH dans une relation intime non protégée avec un partenaire ignorant sa séropositivité ! Je vous laisse juger de la santé mentale nécessaire à l’écriture de telles insanités ? En d’autres termes, il compare le risque encouru par le client d’une boulangerie qui va acheter son pain à celui d’un autre habitant du quartier qui se livre à un rapport intime ! Personnellement, j’ai honte à leur place.
« Les juridictions pénales ont d’ailleurs étendu la constitution de la dite infraction au virus du VIH pour des individus porteurs qui en pleine conscience auraient eu des rapports sexuels non protégés et ayant contaminé leur partenaire. »
Le plus malsain dans cette tribune est de renconter à de nombreuses reprises le nom d’Agnès Buzyn qui a été poursuivie devant la Cour de justice de la république concernant sa gestion catastrophique des masques. Nous avons donc clairement l’impression qu’il s’agit ici d’une commande afin de la protéger, de la soutenir. Il serait intéressant de connaître les liens de proximité entre les signataires de la tribune et l’ex-ministre de la santé.
Pour finir, le dernier chapitre est juste mythique, spectaculaire. Ils reprennent les termes d’Emmanuel macron tels quels comme celui de « guerre » qui est une honte dans la bouche d’un soignant, professeur de surcroît, car on ne peut pas faire la guerre à un virus, ça n’a absolument aucun sens biologiquement et médicalement parlant. À aucun moment les signataires ne se posent la question concernant l’efficacité de la vaccination de la personne fragile ! Qu’en est-il de la contamination d’une personne vaccinée 5 fois et qui décède quand même ? Est-ce à cause du virus du contaminant ou est-ce à cause de l’inefficacité des injections ? De surcroît, affirmer que transmettre le virus équivaudrait à transmettre la mort est totalement faux car pour la très grande majorité des Français, et notamment les moins de 60 ans en bonne santé, cela ne représente qu’une simple petite grippe ! Pour finir, les signataires de cette tribune trouvent que le terme « emmerder » les non-vaccinés n’est pas suffisant, il faut les jeter en prison ! Comment un avocat défenseur des libertés peut-il se compromettre dans l’écriture d’un texte aussi abject ? comment un médecin, un professeur de médecine de surcroît, qui a prêté le serment d’Hippocrate, peut-il transformer un acte médical nécessitant le consentement éclairé en obligation sous menace de sanctions pénales ?
« Il faut se dire simplement que dans cette « guerre sanitaire » décrite par notre Président, l’obligation vaccinale et l’arme pénale permettraient de faire peser un risque pénal sur celui qui transmet la mort – Faux – encore plus que de « l’emmerder » en l’empêchant d’aller au cinéma ou au restaurant. »
Pour finir, il est très inquiétant de constater que les élites françaises ont sombré dans la bêtise la plus crasse en se rendant complices d’une dérive totalitaire du système de santé et de l’État de droit qui s’est effiloché petit à petit tout au long de la crise sanitaire. Comment est-il possible d’ignorer le concept d’immunité collective et son taux calculé en fonction du R0, en voulant vacciner obligatoirement 100 % de la population ? C’est totalement stupide car inatteignable et ceci n’a rien à voir avec la médecine ! De plus, ceux qui ont peur de la maladie, qui sont fragiles et qui veulent se protéger n’ont qu’à se faire injecter ; quel est le rapport avec celui qui refuse de le faire ? Le craindre est une preuve d’absence de confiance dans le produit injecté !
Une année après la publication de cette tribune indigne, tout le monde sait que ces injections ne sont rien d’autre que la plus grande, la plus gigantesque escroquerie industrielle de Big Pharma de tous les temps, c’est inégalé dans l’histoire contemporaine. Plus personne ne veut se faire injecter ! Avec moins de 2000 injections par jour de doses de rappel, il faudra 60 ans pour vacciner les 53 millions de doubles dosés initiaux ! Même le personnel soignant n’a pas renouvelé ces injections, il n’est pas à jour dans son schéma vaccinal à plus de 90 % ! Les enfants de moins de 12 ans ont été injectés à moins de 3 % en France, ce qui est une faillite assez spectaculaire ! Ils ont perdu leur « guerre » et ils le savent.
Reste à savoir si les signataires de cette tribune sont au courant qu’un célèbre professeur de médecine parisien, accusé par de très nombreuses femmes – 32 au total et au minimum – d’agressions sexuelles et viols, continue d’exercer alors qu’il va passer aux assises bientôt. Par contre, les non-injectés n’ont plus le droit de travailler malgré un bac plus 10 et des compétences certaines ! On aimerait bien avoir un avis juridique de l’avocat ainsi qu’un avis déontologique du professeur…
Le projet de loi transformant le passe sanitaire en passe vaccinal, adopté jeudi 6 janvier par l’Assemblée nationale, doit être examiné par le Sénat à partir de lundi.
Deux spécialistes, l’un en droit pénal et l’autre en santé publique, estiment dans une tribune que nous publions en exclusivité sur le site du Parisien – Aujourd’hui en France que son adoption est nécessaire mais loin d’être suffisante pour venir à bout de la pandémie…
Photo d’illustration : Les opposants à la vaccination ont manifesté ce samedi dans plusieurs villes de France. PHOTOPQR/Ouest-France/Vincent Michel
9 janvier 2022