Voici le témoignage très intéressant d’une journaliste canadienne – Marianne Klowak – qui a travaillé pendant 34 ans dans le service public canadien (CBC) et dont on ne peut douter du professionnalisme et des compétences. Elle affirme dans son témoignage pendant le National Citizen Inquiry, enquête totalement indépendante du gouvernement, quelle a été censurée par sa rédaction au moindre article critiquant les effets désastreux du confinement, les choix du gouvernement, les effets indésirables des vaccinations et, on imagine, toute proximité entre Big Pharma et les décideurs…
C’est la preuve supplémentaire qu’une dictature s’est installée en Occident, elle utilise des moyens publics pour désinformer le peuple en reprenant dans un psittacisme pathétique les communiqués de presse de Big Pharma. Toute parole dissidente a été taxée de ‘Complotisme’ et bannie des médias, voire même de la vie sociale et professionnelle. Cette propagande a eu des effets désastreux sur la santé des populations avec la mise en place de vaccinations totalement inutiles chez les moins de 40 ans qui souffrent aujourd’hui d’effets indésirables très graves par centaines de milliers.
MUST WATCH: 34 year veteran CBC reporter Marianne Klowak, testified that when COVID hit the broadcaster "betrayed the public, broke their trust, pushed propaganda, and stopped telling the truth."
During the National Citizen Inquiry today in Ottawa, veteran CBC reporter Marianne… pic.twitter.com/aHjR4VpErA
— The Canadian Independent (@canindependent) May 18, 2023
Une ex-journaliste de Radio-Canada a déclaré devant l’Enquête nationale des citoyens que le diffuseur public avait interdit à ses journalistes d’écrire des articles sur les préjudices causés par le confinement et les effets secondaires du vaccin.
Ce 18 mai se poursuivaient à Ottawa les audiences de l’Enquête nationale des citoyens consacrée à faire la lumière sur la gestion de la pandémie.
Dans ce cadre, Marianne Klowak, une ex-journaliste de la CBC basée au Manitoba et à l’emploi de ce média depuis 34 ans, a déclaré que le réseau d’État avait failli à sa mission en interdisant à ses journalistes d’écrire des articles sur les préjudices causés par le confinement et les effets secondaires du vaccin, mais aussi sur l’opposition d’une partie de la population aux mesures sanitaires contraignantes et obligatoires.
« Les règles avaient changé du jour au lendemain »
« Je sais qu’en tant que radiodiffuseur public, vous vous attendez à ce que nous vous disions la vérité, et c’est ce que nous avons cessé de faire », a souligné Mme Klowak durant son témoignage devant les commissaires de la National Citizen’s Inquiry, une « initiative dirigée et financée par les citoyens et totalement indépendante du gouvernement ».
Information biaisée
« Il s’agit d’un certain nombre d’articles que j’ai présentés et qui ont été bloqués, mais il m’a semblé, en tant que journaliste en poste depuis 34 ans, que les règles avaient changé du jour au lendemain. Et cela s’est produit si rapidement que j’en ai été étourdie », a poursuivi celle qui a quitté la CBC en décembre 2021.
Selon elle, le diffuseur public l’a empêchée de rédiger plusieurs articles sur la pandémie, mais surtout sur sa gestion par les gouvernements, articles qu’elle avait présentés à ses rédacteurs en chef avant de voir son travail censuré.
Marianne Klowak estime que la CBC a trahi la confiance du public canadien en privilégiant systématiquement les experts favorables aux mesures sanitaires, tout en qualifiant de « dangereux et de diffuseurs de fausses informations » ceux qui mettaient en doute l’efficacité et le bienfait de ces mesures et de la vaccination de masse.