Étant donné le manque de praticiens et de soignants, la chirurgie de cette pauvre dame de 77 ans a été reportée à plusieurs reprises et comme elle devait être à jeun pour sa chirurgie sous anesthésie générale, elle n’a pas mangé plusieurs jours jusqu’à sa mort ! C’est la preuve qu’il n’y avait personne qui passait dans sa chambre pour s’enquérir de son état, personne pour lui donner ne serait-ce qu’un jus de pomme afin de la réhydrater et lui administrer quelques oligo-éléments et glucides ! Comment est-il possible qu’un tel accident puisse arriver dans un hôpital français en 2022, un service public qui engloutit près de 200 milliards d’euros chaque année ! Comment ?
Emmanuel macron et son équipe de bras cassés incompétente a réussi à tiers-mondiser la France en cinq ans et demi ! Il a été d’une efficacité redoutable, un véritable Mozart du sabotage et du chaos ; même dans les pays les plus pauvres, on s’occupe mieux des plus fragiles avec beaucoup moins de moyens.
Malgré de nombreuses personnes décédées dans les couloirs des urgences par manque de moyens, malgré ce drame monstrueux, les autorités continuent de maintenir la suspension du personnel soignant non-injecté au détriment de la santé des malades.
Une plainte a été déposée et une enquête ouverte pour déterminer les causes du décès d’une femme de 77 ans au sein du CHU de Dijon, a appris BFMTV de sources concordantes, confirmant une information du Bien Public.
Selon la plainte déposée par la famille, la septuagénaire aurait été laissée sans être nourrie pendant plusieurs jours, avant de tomber dans le coma et de décéder le 31 août dernier.
Plusieurs jours sans manger
La patiente a été prise en charge par la CHU pour une fracture du péroné et devait ainsi subir une opération à jeun. Selon la plainte, l’opération aurait été repoussée à plusieurs reprises car jugée non « prioritaire ».
Toutefois, la femme est restée dans une chambre en attendant et n’aurait pas été nourrie entre temps. Restée plusieurs jours sans manger, elle serait tombée dans le coma avant de mourir.
France 3 Bourgogne Franche-Comté affirme que la victime se serait plainte auprès de sa fille, par téléphone. Selon cette même source, le parquet de Dijon confirme qu’une autopsie a été réalisée pour comprendre les circonstances du décès.
Photo d’illustration – AFP
