Comme vous pouvez le constater dans ce rapport officiel des autorités américaines, il y a une augmentation catastrophique du taux de mortalité maternelle aux USA en 2021, 344 femmes décédées en plus ! Bien sûr, comme on pouvait s’y attendre, les autorités vont mettre cette mortalité sur le dos du SARS-CoV-2 alors que la mortalité en 2020 – sachant que le virus était beaucoup plus pathogène en 2020 et qu’une très petite partie de la population l’avait rencontré et s’était constitué une immunité naturelle – aurait été beaucoup plus importante, ce qui n’est pas le cas. En réalité, la seule différence entre 2020 et 2021 concernant une grande partie de la population reste la vaccination anti Covid-19, c’est un fait.
Sauf que, bien entendu, personne parmi le corps médical ne pourra l’avouer car ce serait se tirer une balle dans le pied, ce serait un suicide professionnel. Ça aussi c’est un fait.
Ce rapport présente les taux de mortalité maternelle pour 2021 sur la base des données du National Vital Système statistique. Un décès maternel est défini par l’OMS comme « le décès d’une femme enceinte ou dans les 42 jours suivant l’interruption de grossesse, quel que soit le la durée et le site de la grossesse, de toute cause liée ou aggravée par la grossesse ou sa gestion, mais pas de causes accidentelles ou fortuites. » Taux de mortalité maternelle, ou le nombre de décès maternels pour 100 000 naissances vivantes, sont présentés dans ce rapport par âge, groupe et race et origine hispanique.
Ce rapport met à jour un précédent qui montrait les taux de mortalité maternelle pour 2018-2020. En 2021, 1 205 femmes sont décédées de causes maternelles aux États-Unis contre 861 en 2020 et 754 en 2019. Le taux de mortalité maternelle pour 2021 était de 32,9 décès pour 100 000 naissances vivantes, contre un taux de 23,8 en 2020 et 20,1 en 2019 (tableau).
En 2021, le taux de mortalité maternelle des femmes noires non hispaniques (par la suite, noires) était 69,9 décès pour 100 000 naissances vivantes, 2,6 fois le taux des Blancs non hispaniques (par la suite, Blanches) femmes (26,6) (Figure 1 et Tableau). Les taux pour les femmes noires étaient significativement plus élevés que les taux pour les femmes blanches et hispaniques. Les augmentations de 2020 à 2021 pour toutes les races et les groupes d’origine hispanique étaient significatifs.
Les taux augmentaient avec l’âge de la mère. Les taux en 2021 étaient de 20,4 décès pour 100 000 naissances vivantes pour femmes de moins de 25 ans, 31,3 pour celles âgées de 25 à 39 ans et 138,5 pour celles âgées de 40 ans et plus (Figure 2 et tableau). Le taux des femmes de 40 ans et plus était 6,8 fois plus élevé que celui des femmes moins de 25 ans. Les différences de taux entre les groupes d’âge étaient statistiquement significatives. Les augmentations des taux entre 2020 et 2021 pour chacun de ces groupes d’âge ont été statistiquement important.
Le CDC (Centre de contrôle des maladies) américain a publié les chiffres alarmants concernant les femmes enceintes décédées lors de leur accouchement en 2021 aux États-Unis, pour constater une augmentation de 60% par rapport à 2019 et le plus haut niveau observé depuis 1965.
Qu’est-ce que le ‘décès maternel’?
L’Organisation mondiale de la santé le définit comme « le décès d’une femme enceinte ou dans les 42 jours suivant la fin de la grossesse, pour toute cause liée ou aggravée par la grossesse ou sa prise en charge, à l’exclusion de toute cause accidentelle ou secondaire ».
Les États-Unis ont le taux de mortalité maternelle le plus élevé de tous les pays développés, selon le Fonds du Commonwealth et les dernières données de l’OMS. Selon un rapport publié en mars 2023 par le CDC, le taux de mortalité maternelle pour 2021 était de 32,9 décès pour 100’000 naissances vivantes, contre un taux de 23,8 en 2020 et de 20,1 en 2019.
Ce n’est pas dû au Covid… mais personne ne parle des vaccins
CNN, défiant toute logique, attribue au virus seul cette augmentation en 2021. Or 2021 a été l’année d’un variant moins létal avec une majorité de la population qui avait déjà été en contact avec le Sars-CoV-2. Si la cause de cette augmentation de la mortalité maternelle était réellement le virus, c’est donc logiquement en 2020 qu’elle aurait dû être la plus marquée, l’année de la souche virale la plus létale au sein d’une population pas encore immunisée.
L’arrivée des injections ARNm en 2021 n’est pas du tout évoquée par CNN, pas plus que par le CDC qui ne fournit aucune statistique en fonction du statut vaccinal Covid. Les pro-vax auraient d’ailleurs certainement fanfaronné si 2021 avait connu une baisse des décès maternels, qui aurait été attribuée à la campagne de vaccination des femmes enceintes. Or c’est le contraire qui s’est produit.
CNN continue à encourager les femmes enceintes à se vacciner
Seule la disparité entre ethnies est mise en avant et disséquée par le CDC, montrant un phénomène connu de longue date, soit que les femmes noires et hispaniques sont plus touchées, notamment pour des questions liées à la pauvreté, comme les habitudes alimentaires et l’accès à des soins de qualité. Certains y voient une tentative de diversion.
Dans son reportage, CNN répète une fois de plus l’importance de vacciner les femmes enceintes contre le Covid, les considérant encore à risque malgré le fait que 99% de la population soit immunisée en 2023. Nous avons récemment rassemblé dans un article les données scientifiques qui démontrent qu’une telle mesure devrait être évitée à tout prix. Les injections causent sept à huit fois plus de fausses-couches pour les femmes à moins de 20 semaines de grossesse.
Et l’effet des mesures contraignantes?
Grand absent de l’analyse de CNN, l’effet possible des mesures Covid n’est évoqué nulle part non plus. On peut penser au port du masque obligatoire lors de l’accouchement, qui a pu péjorer les conditions du travail pour de nombreuses futures mamans, en augmentant le nombre d’issues fatales pour les femmes déjà atteintes dans leur santé.