L’UPC ou Union des producteurs de cinéma ainsi que la SRF ou Société des réalisateurs de films ont publié un communiqué lunaire. Ils sont en train d’accuser le public critique d’un navet cinématographique d’être de l’extrême droite. Ils vont même jusqu’à l’accuser de… « censure » ! Et c’est justement là où ça part complètement en cacahouètes. Comment est-il possible de crier à la censure alors que près de 10 millions d’euros d’argent public ont été dépensés pour la réalisation de ce film qui a été diffusé dans plus de 500 salles de cinéma ! La censure c’est le fait d’empêcher une œuvre d’être réalisée et certainement pas le fait de ne pas rencontrer un public.
Si on comprend bien. Le seul fait de refuser d’aller voir une daube cinématographique est considéré aujourd’hui comme de la censure ! Il ne leur vient pas à l’esprit de se remettre en question, jamais ! Au lieu de se rendre compte que leur délire de caste parisienne n’a strictement rien à voir avec la population générale, ils viennent pleurnicher en accusant toute autre personne étrangère à leurs échecs de leurs turpitudes. Il faut dire que leur victimisation ne peut pas marches pas vu les 3,2 millions de spectateurs d’Indigènes…
On n’est encore pas sorti de l’auberge avec ces teubés…