Cette déclaration du jour démontre que la population algérienne refuse la vaccination malgré un système hospitalier catastrophique et un manque de moyens évident. Il existe selon le ministre un stock de 13 millions de doses de vaccin qui risque la péremption car la population n’en veut pas. Au Maroc la situation est encore plus grave puisque la population manifeste massivement contre le passeport vaccinal. Cette dernière est d’autant plus déterminée qu’un grand nombre d’effets secondaires graves se multiplient dans le royaume chérifien, des victimes et familles des victimes n’hésitant pas à réaliser des vidéos qui font le buzz sur les réseaux sociaux.
Là encore, et c’est la preuve du complot médiatique, aucune chaîne de télévision, radio ou journal ne parle de ce qui se passe au Maroc ou en Algérie. Ils font croire aux Français que tout se passe pour le mieux, qu’il n’y a pas d’autres alternatives, que tous les pays du monde entier pratiquent les mêmes politiques sanitaires et que les peuples sont aussi dociles qu’eux.
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdel Rahman Benbouzid, a révélé que le nombre de citoyens vaccinés a diminué en raison de l’amélioration de la situation épidémiologique en Algérie.
Aujourd’hui, vendredi, en marge du lancement de Marathon lors d’une journée de sensibilisation sur le diabète, le ministre a ajouté que de nombreux médicaments et même vaccins deviendront impropres à la consommation lorsque la date de péremption et la date de leur production expireront. Il a souligné que l’Algérie dispose de millions de vaccins, qui deviendront inutilisables si leur date de péremption expire et que les citoyens ne se vaccinent pas et renforcent leur immunité contre le virus.
Il a expliqué, dans le même contexte, que des vaccins contre Corona sont disponibles en Algérie. Il existe un stock de 13 millions de doses. Il deviendra inutilisable s’il est conservé longtemps.
Le ministre de la Santé a indiqué que tous les experts ont confirmé que le vaccin est le moyen efficace de vaincre le virus. D’autant qu’on avait espéré qu’à la fin de l’année l’Algérie atteindrait un certain pourcentage de vaccination. Malheureusement, nous n’avons pas atteint ce pourcentage en raison de la réticence des citoyens à vacciner en raison de l’amélioration de la situation épidémiologique.
Dans le même contexte, le ministre a appelé à la nécessité de la vaccination, d’autant plus que le vaccin est disponible. En plus de la possibilité de prendre la troisième dose 6 mois après la prise de la deuxième dose pour renforcer encore l’immunité et la résistance au virus.