À l’instar du Mediator® criminel qui était interdit en Allemagne et autorisé en France pour tuer quelques milliers de personnes supplémentaires, nous avons aujourd’hui ce Gardasil® qui est interdit en Utah mais pas ailleurs comme si la science était différente entre eux et les autres ! Le temps de faire quelques dizaines de milliers de victimes et ils l’interdiront comme toujours avec 20 ou 30 ans de retard…
Le journal “The Salt Lake Tribune” a rapporté aujourd’hui que le médecin qui dirige le Département de la Santé de l’Utah (Sud-Ouest) a décidé d’exclure le vaccin Gardasil des cliniques de Santé publique.
Au cours d’une émission télévisée cette semaine, Katie Couric a évoqué le fait que le vaccin Gardasil faisait l’objet de controverse, affirmation pour laquelle elle a été largement critiquée et attaquée par les grands médias qui ont prétendu qu’il n’existait pas de controverse au sujet du Gardasil. Cette histoire suggère clairement que même aux Etats-Unis, le soutien du Gardasil par les médecins n’est pas aussi unanime que voudraient nous faire croire les médias traditionnels.
Il est aussi intéressant de noter de cette nouvelle de l’Utah n’est même pas nouvelle du tout parce que « la décision d’exclure ce vaccin des cliniques de Santé publique dans les comtés de Beaver, Iron, Garfield, Kane et Washington a déjà été prise il y a plusieurs années… »
Le Dr David Blodgett, Directeur du Département de la Santé a, dans « Salt Lake Tribune » donné les raisons pour lesquelles les autorités ont décidé de ne pas stocker le vaccin Gardasil controversé : les réactions violentes par rapport au Gardasil ont été à ce point importantes qu’il n’y avait pas de raison d’en tenir compte. Personne ne veut de ce vaccin ; il est en outre beaucoup trop cher si les autorités de Santé ne décident pas à le rembourser. »
Blidgett évoque d’autres problèmes liés au Gardasil, notamment qu’il a fait l’objet d’une procédure accélérée grâce à la Food and Drug Administration (FDA) et qu’il existe une croyance que les bénéfices du vaccin ont été surestimés par le fabricant.
« Il ne s’agissait pas d’une science correcte… Des médecins de notre communauté ont fait valoir qu’il n’y avait pas lieu de rendre ce vaccin disponible », a précisé Blodgett.
Il ne s’agit donc pas de l’avis d’un médecin isolé qui aurait exprimé ses doutes à propos du Gardasil ; il s’agit du fruit de la réflexion de nombreux médecins de la communauté .
Le Dr Blodgett a aussi évoqué les préférences du public. « Quand ce dernier évalue les risques, il ne veut pas du vaccin, a maintenu le Dr Blodgett. En outre ce problème contribue à éroder la confiance du public dans les programmes de vaccination. »
Donc, une partie de la motivation à ne pas stocker le vaccin Gardasil trouve son origine dans le fait que le public n’en veut pas et que tout le programme de vaccination était en danger. Ceci représente à peine un commentaire pour une personne qui est contre les vaccins !
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