Ainsi, ça tombe bien, l’explosion des malaises cardiaques et autres pathologies circulatoires de ces 2 dernières années suite aux campagnes d’injections d’ARN messager sont maintenant expliquées. C’est à cause de la chaleur en été et du froid en hiver sauf que selon la Doxa, le réchauffement climatique devrait nous permettre d’avoir moins froid mais ça ne marche pas ici, il suffit de voir la photo de Une que le journaliste de Figaro a choisie pour comprendre le message. Depuis quelques mois, nous voyons fleurir dans les médias occidentaux des articles scientifiques totalement bidons qui nous expliquent que le fait de faire ses lacets, nettoyer sa couette, ou je ne sais quelle autre activité du quotidien augmente drastiquement les risques d’un arrêt cardiaque ! C’est nouveau, ça vient de sortir. Avant, quand il faisait chaud sur un chantier, on faisait un petit malaise, aujourd’hui on meurt.
Quand il fait inhabituellement froid ou chaud, notre cœur souffre et l’on en meurt davantage. De nombreuses études ont montré une hausse des événements cardio-vasculaires durant les épisodes de grand froid ou de canicule, mais le phénomène restait difficile à chiffrer précisément. Des auteurs viennent de calculer que ces extrêmes anormaux de températures seraient directement associés à plus de 1 % des décès cardio-vasculaires dans le monde, relatent-ils dans Circulation , la revue de l’American Heart Association.
Un pourcent, cela peut sembler peu, et ça l’est par rapport aux autres facteurs de risque connus (tabac, mauvaise alimentation, manque d’activité physique…). Mais les maladies cardio-vasculaires sont la principale cause de mortalité dans le monde avec près de 18 millions de décès chaque année, selon l’Organisation mondiale de la santé. Le total des décès imputables aux jours inhabituellement froids ou chauds est donc important.
Pour estimer l’impact des températures extrêmes, les…