Cet escroc de la modernité, qui ne doit ses passages télé qu’à l’entregent de papa, n’est même pas diplômé d’État en philosophie, c’est juste un prof de philo au lycée ! Donc, on aimerait vraiment savoir pourquoi cette personne passe si souvent à la télévision alors qu’il existe des philosophes infiniment plus compétents que lui ! Il est la démonstration même du complot, il est la démonstration de cette mascarade élitiste pathétique qui consiste à nous imposer des médiocres, voire des incompétents notoires, alors que les universités françaises ont formé des philosophes agrégés de très haut niveau.
Quant à sa faconde, Raphaël Enthoven n’est rien d’autre qu’un rhétoricien, un adepte acharné du pilpoul, technique qui consiste à argumenter une position avec beaucoup de conviction et faire exactement l’inverse avec la même conviction. Il l’a démontré parfaitement lorsqu’il s’agissait de défendre ou de critiquer la position abstentionniste ; même l’humoriste et animateur radio, Cauet, en a parlé dans une émission hilarante comme vous pourrez le voir ci-dessous. Nous vous invitons à la regarder plusieurs fois en étant attentifs à ce pilpouleur car c’est vraiment troublant. Vous pourrez également constater qu’il est imperturbable et ne rougit jamais de honte.
Concernant la morale de ce personnage et ses mœurs – faut-il rappeler qu’il a couché avec Carla Bruni qui a été la compagne de son père ; il lui a même fait un enfant ! – Nous vous laisserons juger par vous-même, car les mots manquent. C’est cette même personne qui voulait criminaliser tous les citoyens français qui se posaient des questions sur la politique sanitaire du gouvernement et notamment les injections d’ARN messager. Il s’est d’ailleurs transformé pour l’occasion en agent de la propagande officielle avec une vulgarité rare qui devrait lui faire interdire de citer Nietzsche et de se targuer d’être philosophe.
Raphaël Enthoven n’est pas docteur en philosophie ; en réalité, il aurait pu le devenir si son amour des plateaux télé ne l’avait pas éloigné du travail et de la lecture…
Extrait d’un débat entre Bégaudeau et Enthoven :