Certes, il faudrait être sévèrement atteint du cortex pour aller lire les sottises de Pascal Praud sur le JDD mais il faut dire que cette sortie sur Sarkozy est assez succulente. Pour ce journaliste sportif qui se prend pour un grand intellectuel, Sarkozy a été victime d’une injustice. Pour lui, la décision de justice a été manipulée car elle ne lui convient pas. Par conséquent, il s’agirait de 2 décisions de justice à la suite qui ne seraient pas bonnes. On imagine que la prochaine condamnation de Sarkozy dans l’affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle fera de même ! Il sera choqué et accusera la république des juges…
Ceci n’est rien d’autre que du séparatisme en col blanc. Ce comportement est tout simplement anti républicain ! Ce pitre cathodique n’est pas sans savoir que, selon l’article 434-25 du code pénal : « Le fait de chercher à jeter le discrédit, publiquement par actes, paroles, écrits ou images de toute nature, sur un acte ou une décision juridictionnelle, dans des conditions de nature à porter atteinte à l’autorité de la justice ou à son indépendance est puni de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende. » La loi est très claire mais Praud n’en a cure.
Il suffit de lire les quelques articles de l’actuel procès de Sarkozy et sa garde rapprochée pour comprendre le degré extrême de corruption de ce voyou. C’est une évidence aussi criante que les crimes sionistes à Gaza que Pascal Praud nie à cor et à cris. Ceci ne l’empêchera pas de récidiver demain. On se demande pourquoi la justice ne réagit pas, pourquoi elle laisse subsister un tel comportement !
Mercredi 26
[…] Fichue semaine ! Déjeuner avec Nicolas Sarkozy. Vincent Hervouët est présent. Nous parlons peinture et sculpture. Je suis plus à l’aise avec cinéma et littérature. « L’art est la preuve que Dieu existe », dit le président. Et de poursuivre : « L’idée du progrès n’existe pas quand il s’agit d’art. On ne peint pas mieux que Picasso, Rembrandt ou Velasquez. » Nous évoquons son procès. Nicolas Sarkozy ne se plaint jamais. Il se bat contre l’injustice. Puisse-t-il gagner ce match.