Il suffit de voir ce visage hideux pour commencer à avoir la nausée. Ce personnage est d’une grande médiocrité puisqu’il est responsable de la faillite de la gestion sanitaire de la crise du Covid-19 en France. Dans cet article absurde, sans queue ni tête et sans aucun intérêt pour le lecteur, Yazdan Yazdanpanah multiplie les bêtises comme à l’accoutumée. Premièrement, on voit bien que c’est un adepte du terrorisme sanitaire puisqu’il affirme que nous ne sommes pas à l’abri de l’émergence d’un variant plus dangereux alors qu’il sait pertinemment que le SARS-CoV-2 est une arme biologique réalisée dans un laboratoire chinois avec un financement américain avec la technologie interdite et illégale du “gain de fonction”. À de nombreuses reprises il revient sur le changement climatique comme cause de ces crises sanitaires alors qu’encore une fois c’est totalement faux, la crise du Covid-19 a été causée par des apprentis sorciers, des criminels extrêmement dangereux qui ont mis en danger toute la planète et sa population !
La France a brillé par son incompétence à cause de ses élites scientifiques corrompues par Big Pharma. Trois ans après le début de cette crise sanitaire, le système de soins français ainsi que toute la partie de recherche universitaire ont montré à quel point ils étaient en faillite. Sans oublier bien entendu toute la partie industrielle avec les pénuries de médicaments que nous subissons depuis 3 ans maintenant !
ENTRETIEN – Le professeur Yazdan Yazdanpanah est directeur de l’agence de recherche sur les maladies émergentes créée en pleine crise du Covid, il y a deux ans.
Lancée en pleine crise sanitaire, l’ANRS-MIE (Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales – Maladies infectieuses émergentes) fêtera ses deux ans en janvier. L’occasion pour son directeur de dresser un premier bilan et d’évoquer les pistes de progression pour la recherche en France.
La crise du Covid n’est donc pas terminée selon vous ?
Quand on regarde ce qui s’est passé en 1918 avec la grippe, au bout de deux ans on a considéré que la crise était finie, alors que la mortalité est restée très élevée pendant encore au moins un an. Il y a encore environ 60 000 cas par jour détectés dans le pays. Nous ne sommes pas à l’abri de l’émergence d’un variant, d’autant que le déconfinement chinois, qui arrive sans doute trop tard, expose une population mal vaccinée. Ce n’est plus la même crise qu’en mars 2020, on a des vaccins, des traitements, mais nous devons rester vigilants.