Le plus effrayant est clairement le sourire qui s’affiche sur le visage de cette pauvre dame. Elle sait parfaitement qu’elle a tort et que la chose la plus précieuse au monde c’est le bonheur et que ce dernier ne s’achète pas, il n’a pas de prix dans aucune bourse mondiale, sur aucun marché. On est ici face à la monstruosité du matérialisme, l’impasse du progrès moderne promu par un Occident décadent et dégénéré. Tout ce qui est précieux chez l’homme, ce qui est essentiel et vital n’a pas de prix, n’est même pas quantifiable : l’amour, la fraternité, l’amitié, la famille, la paternité/maternité, la solidarité, l’entraide…
Ainsi, tel est le vrai visage de la modernité, c’est ce résultat final hideux qui devrait faire rougir de honte tous ceux qui ont promu ce modèle depuis environ deux siècles et qui, pire encore, continuent à le promouvoir et veulent le mondialiser en l’exportant à des nations qui n’en veulent pas, à coups de bombardements intensifs.