La situation actuelle de l’Humanité est réellement catastrophique. Nous avons à la tête des nations des pervers narcissiques, des criminels, des violeurs, des voleurs, des menteurs pathologiques, des traîtres, des pédophiles,… Quand on pense que certains ont essayé de nous vendre Trump et son gouvernement comme une solution aux problèmes du monde, il y a vraiment de quoi ricaner !
Kellyanne Conway, proche conseillère de Donald Trump, s’est excusée du bout des lèvres vendredi après le tollé provoqué par des déclarations concernant un attentat imaginaire qu’elle évoquait pour justifier le décret anti-immigration signé par le nouveau président américain.
Kellyanne Conway, proche conseillère de Donald Trump, s’est excusée du bout des lèvres vendredi après le tollé provoqué par des déclarations concernant un attentat imaginaire qu’elle évoquait pour justifier le décret anti-immigration signé par le nouveau président américain.
“On fait tous des erreurs de bonne foi”, a-t-elle écrit sur son compte Twitter pour tenter de désamorcer la polémique provoquée par ses propos jeudi lors d’un entretien sur la chaîne de télévision MSNBC.
Interrogée sur le décret pris il y une semaine par Donald Trump pour interdire de territoire les citoyens de sept pays à majorité musulmane, Kellyanne Conway a alors évoqué le “massacre de Bowling Green” en 2011. Selon elle, cette attaque aurait été commise par deux ressortissants irakiens entrés aux Etats-Unis où ils se seraient radicalisés avant de devenir les cerveaux de cette opération meurtrière.
Avec beaucoup d’aplomb, la conseillère a ajouté que la plupart des gens n’avaient pas entendu parler de cet attentat parce que la presse ne s’en était pas fait l’écho.
En réalité, deux Irakiens ont bien été arrêtés à Bowling Green dans le Kentucky, en mai 2011, mais il n’y a eu aucun massacre. Inculpés pour avoir tenté d’envoyer des armes et de l’argent à Al Qaïda en Irak, ils ont été condamnés l’un à la réclusion à perpétuité, l’autre à 40 ans de prison. Sur son compte Twitter, Kellyanne Conway a expliqué qu’elle voulait parler, non du “massacre de Bowling Green”, mais des “terroristes de Bowling Green”.
Au passage, la conseillère, qui a récemment popularisé l’expression “faits alternatifs” pour justifier les entorses faites par certains hommes politiques à la vérité des faits, a fustigé le journaliste de MSNBC pour l’avoir critiquée.
(Avec Reuters)