“Le point commun entre les baskets et les Juifs : on en trouve plus en 39 qu’en 45“, une petite blagounette de l’humoriste belge Laura Laune. C’est drôle. Quoique cruel. Pourquoi tant de cruauté envers les Juifs ?… Arrêtons un peu, ils ne sont pas tous usuriers. J’affirme que les Juifs ont de la compassion pour les Goys, oui, même les usuriers Juifs sont accablés lorsqu’un Goy décède, eh oui, qui va payer les intérêts ?… Non, les Juifs ne sont pas les pires égoïstes comme on le prétend, en alléguant qu’ils ont gardé Dieu pour eux-mêmes sans le transmettre aux non-Juifs. Ils ont simplement attendu le moment propice pour transmettre aux non-Juifs une certaine idée de Dieu… Et ce moment fut Paul de Tarse…, l’israélite, le pharisien qui tenta en vain d’être accepté parmi les apôtres du Christ, se disant converti, et qui ouvrit son église aux non-Juifs, en leur professant que le Christ était une victime expiatoire. Mais cette idée de faire du Christ une victime expiatoire, pour Israël, était de Caïphe, le chef du Sanhédrin, qui réclama la mort de Jésus et l’obtint.
Faire de cette victime expiatoire un dieu rédempteur que les nations Goys serviraient, en servant finalement l’expiation d’Israël, et donc Israël, telle fut l’action de Paul. Mais Israël est inexpiable, on le voit bien aujourd’hui… Au demeurant, les Goys crûrent en l’idée de Caïphe développée par Paul, formant ainsi l’église catholique voulue par Paul. Cette idée pauliniennes d’un Jésus envoyé au monde, cette idée de faire de l’expiation d’Israël une mission mondiale par le biais d’un Jésus donné en sacrifice (aujourd’hui c’est par le biais de la Shoah, l’Holocauste, “sacrifice” en Hébreu…), cette idée, dis-je, fut élaborée dans le quatrième évangile, chapitre 11, verset 47 à 52 : “Alors les principaux sacrificateurs et les pharisiens assemblèrent le sanhédrin, et dirent : Que ferons-nous ? Car cet homme fait beaucoup de miracles. Si nous le laissons faire, tous croiront en lui, et les Romains viendront détruire et notre ville et notre nation (Israël). L’un d’eux, Caïphe, qui était souverain sacrificateur cette année-là, leur dit : Vous n’y entendez rien ; vous ne réfléchissez pas qu’il est dans votre intérêt qu’un seul homme meure pour le peuple, et que la nation entière ne périsse pas. Or, il ne dit pas cela de lui-même ; mais étant souverain sacrificateur cette année-là, il prophétisa que Jésus devait mourir pour la nation. Et ce n’était pas pour la nation seulement ; c’était aussi afin de réunir en un seul corps les enfants de Dieu dispersés”.
La vérité est que cette idée paulinienne d’un Jésus envoyé au monde contredit totalement ce que Jésus lui-même disait de lui-même : “je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la Maison d’Israël” (Matthieu 15, 24). Car en cette Maison d’Israël siège le Mal obstiné, inexpiable, les marchands du temple, le Veau d’or, etc. Jésus venait de la Maison de Juda, cependant son but n’était pas d’être une victime expiatoire pour Israël, mais de détruire l’idéologie démoniaque d’Israël, de Caïn-Israël, d'”écraser la tête du Serpent”, comme disent les Écritures, en rétablissant à la tête des Juifs l’authentique religion de Juda, fils de Jacob (Israël n’étant pas Jacob mais Caïn), l’authentique religion monothéiste d’Abraham. Le but de Jésus était de destituer définitivement Israël à la tête des Juifs. La Maison de Juda fut toujours en conflit profond avec la Maison d’Israël, tout comme l’église des apôtres fut toujours en conflit profond avec l’église de Paul. Logique. L’église des apôtres aurait sans doute pu vaincre Israël en restaurant Juda par l’enseignement authentique du Christ, mais elle disparut malheureusement peu après la chute de Jérusalem, sous Vespasien puis Hadrien, et Juda fut vaincu par Israël, idéologiquement. Et Israël se maintint à la tête des Juifs jusqu’à nos jours, plus que jamais. L’église de Paul survécut en enfonçant Juda, en dénigrant notamment les œuvres, en montant un Pêché originel en substitution à l’inexpiable d’Israël et en promouvant la foi au rédempteur homme-dieu… une foi folle, démentielle… folie qui rendit les européens si orgueilleux… Paul revendiquait d’ailleurs sa folie !! Folie qui consistait à croire qu’Israël est expiable. “Or, si leur (israélites) chute a été la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des païens, combien plus en sera-t-il ainsi quand ils se convertiront tous. Je vous le dis à vous, païens : en tant que je suis apôtre des païens, je glorifie mon ministère, afin, s’il est possible, d’exciter la jalousie de ceux de ma race (israélite), et d’en sauver quelques-uns”, disait Paul l’israélite (épître aux Romains, 11, 12-14).
Les mondialistes veulent faire du Coran un texte terrifiant, un texte où pourtant tout n’est que bon sens.
Et l’église de Paul devint l’église catholique (“universelle” en grec), première figure du mondialisme… Désormais, comme disait Paul dans son épître aux Galates (3, 28), il n’y aurait plus “ni Juif ni Grec, ni esclave ni homme libre, ni homme ni femme”…, résumé pur jus de la propagande mondialiste ! Nietzsche avait flairé chez Paul une première figure de l’Antéchrist… Cette première tentative mondialiste de Paul par son église catholique permit finalement la perpétuation d’Israël… on le voit clairement aujourd’hui… le Vatican y travaille… Le communisme fut aussi une tentative de mondialisme, à la gloire d’Israël… en Russie bolchevique doctrinalement athée, les églises furent détruites, pas les synagogues… Toutes ces figures du mondialisme, et celui d’aujourd’hui plus ouvertement que jamais, ne sont toujours finalement qu’au service d’Israël, Caïn-Israël. Pour autant, Juda ne fut pas détruit complètement, et fut rétabli par la branche ismaélienne en l’islam, où le Christ est aussi le Messie, sans être Dieu. Voilà pourquoi les mondialistes aujourd’hui s’acharnent si obstinément à la destruction de l’islam. Ce n’est pas un hasard si une sourate entière est consacrée à Joseph, frère de Juda, une des plus longues et plus belles, intitulée “Joseph”. Le Coran ne cesse d’ailleurs de répéter : “ce texte est un rappel”…
Les mondialistes veulent faire du Coran un texte terrifiant, un texte où pourtant tout n’est que bon sens. D’abord primo, une jeune fille de 15 ans peut ne pas avoir ses règles et vouloir, par ailleurs, se marier, l’impératrice Sissi avait 15 ans lorsqu’elle s’est mariée, et que je sache, l’empereur François-Joseph, son époux, n’était pas pédophile, Sissi elle-même n’était pas pro-pédophile lorsqu’elle voulut se marier à un écuyer, Richard, alors qu’elle n’avait que… 14 ans. Secundo, lorsque des persécuteurs veulent votre mort, au sens littéral, et que vous devez vivre pour transmettre une nouvelle religion reconnue d’emblée par juif (Khadija, l’épouse juive du prophète de l’islam fut la première convertie à cette nouvelle religion, le soir même de la première révélation) et chrétien (Waraqa ibn Nawfal, le cousin chrétien de Khadija, fut le second converti), vous n’avez alors d’autres choix que de combattre ces persécuteurs et les éliminer s’ils s’obstinent à vouloir vous tuer et à ne pas accepter un accord de paix. Tertio, aucune loi interdisant de frapper sa femme n’a malheureusement jamais empêché des hommes de frapper leur épouse (actuellement, tous les 3 jours, une femme meurt en France des coups de son mari, ou de son compagnon), il vaut donc mieux responsabiliser les hommes en montrant que frapper sa femme est la pire des issues, la dernière limite, la ligne rouge qu’il faut repousser autant que l’on peut car il est toujours possible de repousser un tel acte pour un homme digne de ce nom, voilà exactement ce que veut dire la sourate des femmes au verset 34 ; donner une possibilité au repentir, au pardon, à une conciliation ou à un accord, avant d’envisager de punir, de sévir, voilà en général ce que le Coran recommande inlassablement. Enfin, quatro, le Coran incite et encourage inlassablement à l’affranchissement des esclaves.
L’islam reste encore la dernière résistance au mondialisme d’Israël, dont le triomphe est presque complet, résistance de plus en plus faible. Lorsque celle-ci cédera, et la Saoudie fait tout pour, la lumière messianique de la vérité apparaîtra. Cette lumière s’annonce dans chaque intention de vérité, dans chaque lutte contre le mensonge, heureux ceux qui en perçoivent déjà la souveraine présence.