C’est tout simplement magique, tout le monde a oublié cette propagande concernant l’explosion de la centrale de Tchernobyl, propagande officielle d’État qui a menti de manière éhontée et qui continue de le faire en nous expliquant que la parole officielle et sûre ! Bien sûr, le nuage radioactif s’est arrêté à la frontière française car il n’avait pas de visa. Nous avons tout de même dans cette vidéo un ministre d’État ainsi que le journaliste le plus écouté de l’époque !
Il faut bien comprendre que ce discours rassurant tenu par des gens cravatés aux brushings impeccables est le même que nous écoutons aujourd’hui à la télévision. C’est de la pure propagande et de la manipulation, rien d’autre. Que ce soit concernant Big Pharma, les banksters, les scandales agroalimentaires… c’est toujours la même technique qui est appliquée en France aujourd’hui et il serait temps que les gens se réveillent à cette triste réalité. Cette vidéo d’archives démontre parfaitement à quel point nous somme manipulés par une caste de voyous sans vergogne, sans foi ni loi.
Complotisme ? Quand Alain Madelin et Noël Mamère mentent à la télé sur Tchernobyl
Alain Madelin n’est pas resté longtemps ministre de l’industrie et du tourisme, mais cela lui a suffi pour participer à cette formidable propagande d’État autour de la catastrophe de Tchernobyl : le nuage se serait arrêté à nos frontières, rappelez-vous !
Le plus choquant, venant d’un libéral, est sans doute l’expression, martelée à plusieurs reprises, de « numéro gratuit ». Gratuit, donc avec l’argent des Français, en fait ! Et de voir l’écolo-bobo Noël Mamère participer à cette mascarade ne manque pas de piment.
On apprend ce 21 avril 2015 que « 29 ans après Tchernobyl, le sol alsacien est toujours contaminé ». La catastrophe de Tchernobyl est un accident nucléaire qui s’est produit le 26 avril 1986 dans la centrale nucléaire Lénine en Ukraine. L’accident de Tchernobyl est la conséquence de dysfonctionnements nombreux et importants : un réacteur mal conçu, naturellement instable dans certaines situations et sans enceinte de confinement ; un réacteur mal exploité, sur lequel des essais hasardeux ont été conduits ; un contrôle de la sûreté par les pouvoirs publics inexistant ; une gestion inadaptée des conséquences de l’accident.
Les conséquences de la catastrophe sont importantes, aussi bien du point de vue sanitaire, écologique, économique que politique. Plus de 200 000 personnes ont été évacuées. Le nuage radioactif issu de la catastrophe de Tchernobyl atteint la France le 29 avril 1986, détecté par les systèmes de la centrale nucléaire de Cattenom, près de la frontière luxembourgeoise, puis Paris étant à environ 2000 km de Tchernobyl : « La détection des aérosols radioactifs ayant survolé le territoire après l’accident a été rapide.
Les mesures des activités p-total (mesure de l’activité de tous les radionucléides émetteurs bêta) dans l’air de l’environnement des centres du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) ont été effectuées dans les 24 heures qui ont suivi leur détection (entre le 29 et 30 avril). Dès le 1er mai, on avait ainsi connaissance d’une élévation anormale de l’activité de l’air les 29 et 30 avril. » Le gouvernement français estime alors qu’aucune mesure particulière de sécurité n’est nécessaire. Le Service central de protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI), placé sous la direction du professeur Pierre Pellerin et sous la tutelle du ministère de la Santé, annonce le 29 avril 1986 par un premier communiqué qu’« aucune élévation significative de la radioactivité n’a été constatée »
Le SCPRI mentionne dans un communiqué dès le 30 avril une « légère hausse de la radioactivité atmosphérique, non significative pour la santé publique ». Le 2 mai 1986, le Professeur Pellerin diffuse un communiqué selon lequel « les prises préventives d’iode ne sont ni justifiées, ni opportunes » et « il faudrait imaginer des élévations dix mille ou cent mille fois plus importantes pour que commencent à se poser des problèmes significatifs d’hygiène publique ». Le 30 avril, la présentatrice Brigitte Simonetta annonce dans un bulletin météorologique d’Antenne 2 que la France est protégée du « nuage » par l’anticyclone des Açores.