Franchement comment voulez-vous que les peuples européens et notamment le peuple français puissent accueillir un tel discours ? C’est une agression, un acte de guerre car d’un côté on leur demande de limiter les naissances pour in fine se faire remplacer par des migrants ! En résumé, ce médiocre politicien a tout faux.
En vérité, on se demande pourquoi l’avis de ce monsieur est diffusé dans les journaux alors qu’il n’existe plus politiquement et qu’il ne représente absolument rien. Ce qui démontre encore une fois que tout ceci n’est que propagande et manipulation.
Dans un entretien accordé à L’Obs, l’ancien ministre de l’Environnement Yves Cochet propose des mesures pour inciter à faire moins d’enfants afin de limiter le coût écologique de la population et pouvoir accueillir davantage de migrants. Une solution choc pour ce défenseur de la décroissance, qui fait réagir.
« Renversons notre politique d’incitation à la natalité ! » Dans un entretien remarqué au magazine L’Obs daté du 3 janvier, Yves Cochet dévoile des solutions radicales pour sauver la planète face au dérèglement climatique. Il propose des mesures pour « faire moins d’enfants » et « mieux accueillir les migrants qui frappent à nos portes » afin de limiter l’impact écologique d’une population mondiale toujours plus nombreuse.
Concrètement, l’ancien ministre de l’Environnement sous Lionel Jospin, propose « d’inverser la logique des allocations familiales » : « Plus vous avez d’enfants, plus vos allocations diminuent jusqu’à disparaître à partir de la troisième naissance. » Et d’ajouter : « Ne pas faire d’enfant supplémentaire, c’est le premier geste écologique. »
Réduire la pression démographique
Yves Cochet, qui dirige le laboratoire d’idée « Momentum » consacré aux « transitions nécessaires pour amortir le choc social de l’anthropocène », assure que la croissance démographique a un impact important sur le dérèglement du climat. Cet ancien professeur de mathématiques s’appuie sur « l’équation du Kaya » (du nom d’un économiste japonais), selon laquelle notre impact environnemental peut être résumé par I = PAT. « Pour quantifier l’effet de nos activités sur la planète (I), il faut prendre en compte la richesse d’une population (A), la technologie qu’elle utilise pour produire de l’énergie et des biens (T), mais aussi sa taille (P)… On peut bien sûr agir sur les facteurs « richesse » et « technologie », mais il nous faut aussi prendre en compte la démographie. Or, c’est un truisme de le dire : pour réduire le nombre d’habitants sur Terre, il faut faire moins d’enfants. »
Cet adepte de la théorie de l’effondrement de nos sociétés assume un « choix politique », assurant qu’il faut « arrêter de se multiplier et de remplir la Terre », contrairement à l’injonction biblique de croissance de la population humaine…