Ce qui est d’une violence inouïe c’est le fait d’avoir le culot de défendre des pédophiles violeurs d’enfants dont un a déjà été condamné par la justice américaine puisqu’il est toujours en cavale, en la personne de Roman Polanski et l’autre qui cumule les accusations d’agression sexuelle par ses enfants adoptifs et qui a carrément épousé sa fille adoptive ! C’est la seule chose extrêmement violente qui choque le plus grand nombre mais pas une certaine élite décadente et putride qui a absolument tout inversé et qui ose nous expliquer aujourd’hui qu’il ne faut pas confondre l’homme et son œuvre, l’homme et l’artiste. On imagine que cet argument ne fonctionne plus lorsqu’il s’agit de votre propre enfant. Ce même argument ne fonctionne d’ailleurs jamais pour les autres pédophiles simples conducteurs de bus ou animateur de colonies… c’est effectivement un argument réservé à l’élite qui a inventé ce passe-droit, cette carte magique qui permet aux artistes de violer des gamins tout en paradant en smoking dans les cérémonies culturelles les plus prestigieuses ! Vous comprenez maintenant le pourquoi de l’impunité, en France, d’un Jeffrey Epstein !
Une polémique sur la présence en compétition du dernier film de Roman Polanski, J’Accuse, sur l’Affaire Dreyfus, dont la projection officielle aura lieu vendredi soir, agite cette année la Mostra de Venise.
Catherine Deneuve, présente au festival qu’elle a ouvert mercredi dans le rôle d’« une actrice très excessive » dans La Vérité du Japonais Hirokazu Kore-Eda, a profité d’un entretien accordé avec l’AFP pour prendre la défense du cinéaste franco-polonais.
Comme elle l’a déjà fait par le passé, la star n’hésite pas à s’indigner des critiques des féministes à l’encontre de la présence en sélection de Roman Polanski, accusé du viol en 1977 d’une adolescente de 13 ans.« Je trouve ça d’une violence inouïe, et je trouve ça totalement excessif » à l’AFP
« Le temps a passé », plaide-t-elle encore au sujet du réalisateur de 86 ans, avec qui elle avait tourné en 1965 dans Répulsion, estimant également que « la plupart des gens ne connaissent pas la réalité de la façon dont les choses se sont passées ».
L’actrice défend aussi Woody Allen
Alors qu’elle s’apprête à présider dans une semaine le Festival du film américain de Deauville, Catherine Deneuve prend aussi la défense de Woody Allen, dont le dernier film, Un jour de pluie à New York, jamais sorti en salles en raison d’anciennes accusations d’agressions sexuelles, fera l’ouverture de la manifestation normande, suscitant là aussi des critiques de féministes.
« C’est pareil, c’est incroyable », estime l’actrice, qui affirme qu’elle accepterait « bien sûr » de tourner avec le cinéaste s’il avait un projet qui lui convienne. Aux États-Unis, « ils ont vite fait de dire “fini, banni”, il faut quitter le pays, il faut quitter la ville, il faut quitter le cinéma », regrette l’actrice, qui avait pris aussi position à contre-courant sur le mouvement #Metoo début 2018, en signant avec une centaine de femmes une tribune défendant « une liberté d’importuner ».
Elle s’était ensuite excusée auprès des « victimes d’actes odieux ». Pour elle, « il faut faire la différence entre le cinéaste et la personne ». « Les féministes ont quand même des œillères », estime-t-elle.
Photo d’illustration : l’actrice Catherine Deneuve à la Mostra de Venise, en Italie, le 28 août 2019. . (LUCA CARLINO / NURPHOTO)