La France est en train de glisser petit à petit vers un état dictatorial dirigé par des incompétents et des traîtres à la nation. Alors que le ministre de l’éducation nationale est incapable de former des bacheliers dignes de ce nom en ayant totalement, au cours des dernières décennies, détruit l’enseignement avec la méthode globale, les autodictées, la sexualisation de l’enseignement… Il veut aujourd’hui empêcher les familles de pallier les insuffisances et les manquements de ce ministère qui nous coûte 50 milliards d’euros chaque année pour un résultat aussi lamentable ! Nous savons tous à quel point la France perd chaque année des points dans les classements internationaux (PISA…). ; nous éviterons de parler du classement mondial des universités françaises car elles sont quasi absentes…
Au lieu de s’occuper de L’école à la maison, il devrait s’inquiéter de la chute de la qualité de l’enseignement dont le résultat, après 12 ans d’enseignement, est la production de bacheliers incapables d’écrire un texte d’une page sans commettre une trentaine de fautes d’orthographe (voire plus) !
Stop à la tyrannie des incompétents et des idiots. Stop à la tyrannie Larem.
Dans un entretien au « Monde », la députée LRM Anne Brugnera défend la loi « confortant les principes républicains », dont l’objectif, pour elle, est de trouver un système qui permette de déceler les situations à risque chez les familles ayant choisi l’instruction à domicile.
La députée La République en marche du Rhône Anne Brugnera est en première ligne pour défendre la réforme de l’instruction en famille, en tant que rapporteuse du chapitre consacré à l’éducation dans projet de loi « confortant les principes républicains ».
L’éducation nationale avance l’estimation de 2 000 à 3 000 enfants en instruction en famille (IEF) en situation de « séparatisme ».
Pourquoi est-il si difficile de quantifier l’ampleur du phénomène ?
Le problème est que l’IEF n’est pas encadrée et donc nous n’avons pas assez de données pour chiffrer avec exactitude le nombre d’enfants concernés par des dérives séparatistes. On a le nombre d’enfants déclarés et le nombre de contrôles effectués par an, mais nous n’avons pas, en revanche, le recensement des motivations des parents qui choisissent l’IEF. Les 2 000 à 3 000 enfants que l’on estime en situation de séparatisme sont une extrapolation de la situation actuelle. Mais justement, avec le système d’autorisation, on va avoir un dispositif plus encadré, plus transparent. La situation des 62 000 enfants instruits à domicile sera mieux connue et, surtout, on va pouvoir vérifier la capacité des parents ou des personnes qui instruisent les enfants.
Comment les familles en IEF pourront-elles concrètement s’adapter à ce nouveau régime d’autorisation préalable ?
Notre objectif n’est pas de restreindre l’IEF pour les familles qui en bénéficient déjà. Si cela se trouve, les 62 000 enfants en IEF aujourd’hui sont en conformité avec les mesures du projet de loi. Pour l’application, tout relèvera du domaine réglementaire. Sous deux mois, les familles recevront soit l’autorisation soit le refus de l’autorisation, et elles auront la possibilité de faire des recours.
Photo d’illustration : Anne Brugnera à l’Assemblée nationale, le 11 février. Julien MUGUET / POUR « LE MONDE »
12 février 2021