Pendant que le voyou de Macron se parjure à la télévision le 12 juillet à 20 heures en imposant la vaccination à tous, on apprend que les États-Unis ont signalé que le vaccin Johnson & Johnson présentait un « risque accru » de développement du syndrome de Guillain-Barré, maladie neurologique extrêmement grave.
Ceci est encore une fois la preuve que les vaccins sont toujours en phase expérimentale et qu’ils ne savent absolument pas quels seront les effets indésirables à moyen et long termes. Nous avons donc les risques de myocardite et de péricardite, nous avons des risques de thrombose extrêmement sérieux, nous avons des effets indésirables cutanés très lourds et maintenant ce risque du syndrome de Guillain-Barré. Aux suivants…
100 cas rapportés de personnes ayant développé le syndrome de Guillain-Barré ont été rapportés sur près de 12,5 millions de doses administrées de ce vaccin.
Encore un nuage au-dessus de la vaccination aux États-Unis.
L’Agence américaine du médicament a mis en garde lundi contre un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain-Barré, une rare atteinte neurologique, associé avec le vaccin contre le Covid-19 de Johnson & Johnson. De quoi réjouir les plus farouches « anti-vax » ce lundi alors qu’Emmanuel Macron veut vacciner à tout prix en France.
Les autorités sanitaires américaines ont identifié 100 cas rapportés de personnes ayant développé le syndrome de Guillain-Barré, sur près de 12,5 millions de doses administrées de ce vaccin. Sur ces 100 cas, 95 étaient graves et ont requis une hospitalisation. Une personne est morte.
Cette déclaration fait suite à un article du Washington Post de lundi, selon lequel la FDA devait annoncer un nouvel avertissement sur le vaccin à coronavirus de J&J lié à une maladie auto-immune rare. Le syndrome de Guillain-Barré est une maladie neurologique rare dans laquelle le système immunitaire de l’organisme attaque par erreur une partie du système nerveux périphérique, c’est-à-dire le réseau de nerfs situé en dehors du cerveau et de la moelle épinière.
La France compte sur ce vaccin pour accélérer sa campagne vaccinale
En avril dernier, L’Agence européenne des médicaments (EMA) avait déjà annoncé que les caillots sanguins devraient être ajoutés aux « effets secondaires très rares » du vaccin Johnson & Johnson contre le Covid-19. L’annonce avait été faite lors d’une conférence de presse virtuelle « sur les conclusions à propos de l’évaluation de la sûreté » ce mardi. Toutefois, l’EMA estime que la balance bénéfice/risque de ce sérum reste « positive ». Cette décision est d’autant plus importante que plusieurs pays européens, dont la France, comptent sur ce vaccin pour accélérer leur campagne d’immunisation.
Pour parvenir à ses conclusions, l’Agence européenne du médicament dit s’être notamment appuyée sur huit rapports réalisés sur le sujet aux États-Unis, pays où plus de sept millions de personnes ont déjà été vaccinées avec le vaccin Johnson & Johnson. « Tous les cas sont survenus chez des personnes de moins de 60 ans dans les trois semaines suivant la vaccination, la majorité chez les femmes, écrit l’EMA dans son communiqué. Sur la base des preuves disponibles, aucun facteur de risques spécifiques n’avait pu être confirmé à l’époque.
Photo d’illustration : les logos des quatre vaccins contre le Covid-19 autorisés en Europe : Pfizer BioNTech, AstraZeneca, Moderna, Johnson & Johnson
AFP
12 juillet 2021