Il est tout de même assez spectaculaire de voir ce genre d’événements de son vivant ! Après avoir terrorisé 1.5 milliards de personnes pendant 3 ans dans une hystérie folle inégalée dans toute l’histoire de l’Humanité ; après avoir imposé des confinements extraordinairement stricts et criminels en poussant les uns au suicide, en tuant les autres par la famine, en imposant plusieurs tests par jour, en enfermant les gens et en enchaînant les portes de leur résidence allant jusqu’à les souder, en massacrant les récalcitrants à coups de bâton, en emprisonnant les gens dans des camps de concentration sanitaires, en diffusant des milliers de tonnes de produits chimiques dans l’atmosphère via des drones ou sur le goudron et les trottoirs, en masquant des bébés de 6 mois, en allant jusqu’à flouter les spectateurs du mondial de foot au Qatar afin que la population chinoise ne se rende pas compte que le monde n’est pas soumis aux mêmes restrictions ni à la même réalité… ! Bref, après cette plongée spectaculaire dans la cabine de la folie, il a suffi de quelques manifestations à peine violentes pour que le Parti communiste recule, ferme les camps de quarantaine et change radicalement et définitivement de stratégie en changeant le “nom” de la maladie puisque celle-ci n’existe plus !
Vous en avez rêvé, le PCC l’a fait.
Ne l’appelez plus Covid-19. Trois ans après le début de la pandémie à Wuhan en Chine, l’empire du milieu a décidé de tourner la page, en changeant de nom le virus.
Car, pour le responsable de la branche des maladies infectieuses de la très officielle Association chinoise de médecine, le coronavirus a muté. Pour Pékin, il est donc temps de changer son nom officiel, du moins, en Chine.
Actuellement, le nom chinois du Covid-19 explique qu’il s’agit d’une maladie causant une pneumonie grave. Et si ce dernier n’a pas encore été rebaptisé, il devrait désormais être appelé simplement “virus infectieux”. Mais cette annonce reflète surtout la volonté du pouvoir chinois de tourner la page de l’épidémie et d’accompagner la fin des mesures les plus controversées de sa politique « zéro Covid ».
« Passer de la détection à la prévention »
Une façon aussi de faire passer la pilule auprès d’une frange de la population qui ne comprend pas pourquoi les autorités ont changé aussi brutalement leur fusil d’épaule cette semaine, notamment sur la fin des centres de quarantaine et des tests obligatoires.
« Il faut passer de la détection à la prévention », annonce l’agence sanitaire, qui recommande simplement aux malades de se soigner à la maison.