https://youtu.be/c7pFSTVnhvo
Après les réfugiés des zones de guerre, les réfugiés climatiques, les réfugiés économiques, nous allons bientôt accueillir de nouveaux réfugiés. Les réfugiés de l’espace. Ce ne sont pas tout à fait des réfugiés, mais plutôt des envahisseurs.
Habitants des galaxies lointaines ils vont venir nous apporter les connaissances qui nous manquent et qui vont changer nos existences à tout jamais. Ils sont des bienfaiteurs de l’humanité bien qu’ils n’en fassent pas partie. Paradoxal n’est-ce pas ? Ils sont beaucoup plus humains que la plupart de nos contemporains. Dans leurs qualités intrinsèques évidemment, car dans l’apparence ils ne sont absolument pas humains. Mais qui sont-ils ? Ils sont ce que l’on nomme les aliens.
Il ne vous aura pas échappé que depuis plus d’un siècle on œuvre à vulgariser le projet de contact avec des entités extraterrestres. Le sujet est régulièrement remis au goût du jour. Le cinéma et la télévision s’en sont donné à cœur joie. La littérature n’est pas en reste. Qui ne connaît pas E.T l’extraterrestre ? Rencontre du troisième type, Star Wars ou le capitaine flamme qui, comme le dit la chanson générique de la série, tu n’es pas de notre galaxie, mais tu l’as traversé.
Ce bourrage de crâne planétaire a un but précis. Face à la question de savoir d’où vient l’Homme, il y a une multitude de réponses. Si on est versé dans la spiritualité alors ces questions ne se posent pas. Mais dans notre monde athéiste ces questions ont été exacerbées. Elles ont servi à créer le doute afin d’apporter par la suite une réponse satisfaisante. L’existence d’une divinité créatrice étant exclue de tout cela, il fallait bien remplir le contenant devenu vide par quelque chose de consistant. Il paraît évident que proposer l’existence des aliens tels que la télévision et le cinéma les ont décrits est une hérésie.
Si ce n’est quelques geeks et fans inconditionnels de science-fiction, personne n’acceptera des aliens aux apparences monstrueuses, terrifiantes, avec huit bras, trois têtes, assoiffées de sang, venues nous asservir sur notre propre planète. […]
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