Ben oui c’est comme ça, Véran a le droit de venir mentir à la télé avec une pseudo étude sur 32 patients ! Si c’était un autre qui avait fait une telle déclaration, il aurait été crucifié sur la place publique mais Véran lui il peut le faire tant que c’est fait pour réaliser la promo des produits de Big Pharma.
Le niveau de protection n’est pas plus élevé en France qu’ailleurs mais les vaccinés ne se font plus tester, ce qui fausse les statistiques et augmente les risques de contamination.
Attention aux gros mensonges les non vaccinés n’ont pas 20 fois plus de risques de contamination. Le « tous vaccinés tous protégés » se révèle trompeur et dangereux. Pour le constater il faut lire et analyser la fameuse étude de la DREES dont parle la presse.
L’étude ne porte que sur un petit nombre de personnes en sachant que les statistiques réelles n’existent pas encore. Aucun texte ne permet le croisement du traitement de prospection VACCIN-COVID avec SI-DEP, ce n’est pas dans les finalités de VACCIN-COVID. Il ne peut être croisé à des fins statistiques car les données d’identification doivent être supprimées.
Les auteurs de l’étude écrivent donc qu’ils n’ont pas des statistiques suffisantes pour conclure positivement ou négativement sur la protection par le vaccin. Et pour cause, les plus fragiles se situent presque tous dans la catégories des plus de 60 ans, l’étude dispose seulement de 32 cas positifs au variant delta. Il est vrai que sur ces 32 cas 21 n’étaient pas vaccinés
Le problème d’interprétation tient aussi à une forte différence de comportement à l’égard des tests, si l’on n’est pas testé on ne peut être positif… Le taux moyen de positivité est de 1,2% et les symptomatiques sont une infime minorité. On ne se fait donc pas tester quand on est malade mais quand c’est nécessaire pour la vie quotidienne.
Avant même le pass sanitaire qui devrait amplifier la tendance, les vaccinés se font deux fois moins tester que les non vaccinés ce qui conduit à fausser les données sur la protection par le vaccin et à favoriser la contamination par une population qui se croit libérée de tout risque de propagation. Il est à peu près impossible d’évaluer le nombre réel de vaccinés asymptomatiques.
Le non vaccinés représentent 65% des tests et 80% des positifs. Ils représentent seulement 50% de la population et sans doute 70% des contaminés réels.
Les vaccinés représentent 35% des tests et 20% des positifs mais 50% de la population. Si les vaccinés se retrouvaient à 50% des tests, il est plus que probable que leur part dans les contaminés réels tournerait autour de 30%.
Pour rappel 32% de la population est doublement vaccinée. Les complètement vaccinés représentent seulement 19% des personnes testées et 6% des positifs. Pour 32% de testés on arriverait à 10/11 % de contaminés .
Il n’y a pas de spécificité française de protection d’un virus anti-israélien et anti britannique. Nous retrouverons un niveau de protection moyen face à la contamination de 60% à 70% ou un peu plus mais malheureusement plus faible pour les plus âgés qui en ont le plus besoin.
À faire croire que les vaccinés sont totalement protégés le gouvernement portera la responsabilité de comportements à risques de leur part.
Les chiffres britanniques correspondants :
Variant Delta en G.B. au 9/7/2021 : 12404 cas de + de 50 ans :
4651 vaccinés 1 dose (42 morts) 5234 vaccinés 2 doses (116 morts)
1267 non vaccinés (71 morts).
Les non vaccinés de plus de 50 ans représentent environ 10% des cas et un peu plus de 8 % de la population
La protection est limitée à l’égard de la contamination.
Plus significative pour les cas graves et les décès : 27% des décès et 8% de la population pour les non vaccinés de plus de 50 ans. Dans un pays qui soigne mal, la létalité des contaminés non vaccinés de plus de 50 ans est de 5%. Avec l’ivermectine on tomberait à 1% !
Pas le moindre intérêt pour les moins de 50 ans sans comorbidité.
Photo d’illustration : La France de Véran serait la seule à vérifier les 95% de protection pour la contamination ?
16 juillet 2021