Ce Didier Lallement va clairement graver son nom dans les poubelles de l’Histoire moderne ! Officiellement, ils font semblant de condamner, mais c’est tout l’inverse qui se passe en coulisse ! Ainsi, on se retrouve avec des policiers qui ont commis des crimes et délits en moins d’une heure et qui vont malgré tout se faire aider avec l’argent public. Pendant ce temps, tout policier sérieux et honnête qui osera dénoncer des dérives en interne sera mis au placard et poussé au suicide…
La préfecture de police de Paris a octroyé la protection fonctionnelle aux agents mis en cause dans le tabassage du producteur de musique noir.
Les quatre policiers mis en examen dans l’affaire Michel Zecler peuvent compter sur le soutien financier de leur administration. Si la condamnation des faits qui leur sont reprochés est ferme sur les plateaux de télévision, la situation est différente en coulisses. Le 26 novembre, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, annonçait vouloir demander la « révocation » des agents du commissariat du XVIIe arrondissement de Paris mis en cause dans le tabassage du producteur de musique noir. Dans le même temps, le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a octroyé le bénéfice de la protection fonctionnelle aux quatre policiers mis en examen, selon un tract du syndicat Unsa Police, dont les informations ont été confirmées à Libération par le cabinet du ministre de l’Intérieur et la préfecture. Cette décision assure aux agents une prise en charge de leurs frais de justice par la collectivité publique et symbolise l’expression de la solidarité nationale. Gérald Darmanin a été « avisé » de ce […]
Photo d’illustration : Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, le 17 novembre. Photo Christophe Archambault. AFP
7 décembre 2020