Ce pitre de Jordy, sans aucune colonne vertébrale ni convictions politiques va finir comme sa patronne, avec un gros procès aux fesses. Les accusations sont graves d’autant plus qu’elles ont été confirmées par la justice : il a essayé très maladroitement de fabriquer de fausses preuves pour le procès de MLP. Il a falsifié des agendas en les anti datant et en les signant afin de faire croire qu’il travaillait comme attaché parlementaire. Sauf que les agendas ont été achetés sur Internet avec une carte bleue. Escroc mais pas fute-fute le Jordy et son équipe du RN.
Six mois après les premières révélations de Libération sur la fabrication de faux documents pour maquiller l’emploi fictif présumé de Jordan Bardella, quand il était assistant d’un eurodéputé en 2015, une association anticorruption a saisi mardi 25 mars le procureur de Paris d’une plainte.
Selon nos informations, celle-ci, portée par l’Association de défense écologiste de la démocratie et des libertés (Adelibe), vise notamment à « éviter l’acquisition d’une prescription extinctive qui pourrait toucher lesdites infractions » présumées, à savoir, « détournement de fonds publics », « recel de détournement de fonds publics », « faux », « usage de faux », « escroquerie » et « tentative d’escroquerie ».
La plainte vise à la fois Jordan Bardella et l’ancien eurodéputé auprès duquel il était censé remplir des fonctions à l’époque, Jean-François Jalkh. Cette plainte intervient moins d’une semaine avant le rendu du délibéré dans l’affaire dite des « assistants parlementaires fictifs du Rassemblement national », attendue au 31 mars, dans laquelle Jordan Bardella n’est pas poursuivi, contrairement..
Photo d’illustration : Jordan Bardella au Parlement européen, le 11 mars à Strasbourg. (Frederick Florin/AFP)
25 mars 2025





























