Ce n’est pas encore le 1er avril, mais pourquoi pas, on peut débiter des âneries au kilomètre ; le peuple est tellement stupide que tout passe, absolument tout. Ceci nous rappelle la fameuse histoire koweïtienne de bébés tués (l’affaire des couveuses de 1991) qui s’est avérée totalement inventée par la propagande US, car c’est bien connu, les Irakiens “sont des tueurs de bébés”, ils adorent ça ! Donc, selon ces imbéciles d’Atlanticon, ISIS considère qu’une femme capturée devient musulmane si dix combattants la violent ! Selon nos sources, la femme violée va au paradis si les violeurs trouvent la maman et la grand-mère et les violent à leur tour. Par contre, mieux encore, le nec plus ultra, c’est les violeurs qui iront au paradis s’ils les mangent, mais uniquement en BBQ avec de l’harissa. Sans cette dernière, point de salut, que ceci soit clair.
Est-ce utile de rappeler que le viol est condamné par la charia et qu’il est passible de la peine de mort ? Quel niveau de bêtise faut-il atteindre pour oser, sans rougir, écrire une telle idiotie ? Ben, il suffit d’être un journaliste français, formé dans des écoles françaises… Mon Dieu ce que vous pouvez être bêtes ! Cela dit, notre propos ne vise aucunement à défendre ISIS qui, comme chacun sait, est une création de l’Occident pour donner la plus mauvaise image possible de l’islam et des musulmans.
Depuis plusieurs mois, de nombreux témoignages de femmes (souvent mineures) issues de la communauté yazidie, ont révélé le détail des sévices sexuels et corporels commis par les combattants de l’État islamique.
Le quotidien britannique The Daily Express publie ce mardi le récit d’une jeune femme Yazidie âgée de 22 ans. Après avoir été capturée dans son village irakien de Sinjar, Noor a été violée à plusieurs reprises par des combattants de l’État islamique.
Pour justifier leurs actes, ces derniers invoquaient une directive formulée par le chef de l’organisation, Abou Bakr al-Baghdadi.
“Il m’a tendu une lettre et m’a dit : ‘Cela démontre qu’une femme capturée deviendra musulmane si dix combattants la violent'”, se souvient la jeune femme. “C’est la règle d’Abou Bakr al-Baghdadi et nous devons le faire” lui a dit l’un de ces hommes, qui l’a violée avant de la laisser à 11 autres combattants, afin qu’ils abusent aussi d’elle.
La communauté yazidie, jugée “hérétique” par l’État islamique, a particulièrement souffert de la progression rapide de l’organisation terroriste dans le nord de l’Irak.
De nombreuses filles et femmes de cette minorité ont été enlevées pour devenir les esclaves sexuelles des combattants, dont de nombreux experts estiment que leur engagement résultait plutôt d’une frustration sexuelle que d’un quelconque engagement religieux.