T out à fait prévisible ! C’est le choix le plus attendu qui soit, ce n’est vraiment pas une surprise. Nous le savons tous, les prix Goncourt et autres magouilles littéraires parisiennes ont toujours été des moyens de faire de la géo-politique et de la subversion et c’est exactement le cas aujourd’hui avec Kamel Daoud. D’autant que ce dernier a été naturalisé français en 2020 et qu’il tient depuis des mois des propos extraordinairement violents contre les Palestiniens en se faisant un soutien indéfectible du sionisme génocidaire.
C’est ainsi, encore une fois, que Gallimard, la maison d’édition des pédocriminels en tous genres, vient de réussir un coup éditorial qui va lui permettre de gagner quelques millions d’euros. Alors que « buzze » sur les réseaux sociaux une jeune femme iranienne qui se balade en culotte en guise de symbole de la libération de la femme, le jury Goncourt a décidé de donner son prix à un homme qui a été condamné par la justice algérienne pour avoir violenté sa femme avec arme blanche ! N’est-ce pas merveilleux !
Tout démarre par une fake news islamophobe
Ah qu’il est comique le Kamel ! Faut-il rappeler aux lecteurs que ce sombre personnage s’est fait connaître en 2016 dans une tribune publiée au Monde dans laquelle il fustigeait le rapport des musulmans avec la gent féminine : « Le rapport à la femme est le nœud gordien, le second dans le monde d’Allah. La femme est niée, refusée, tuée, voilée, enfermée ou possédée… Une femme est femme pour tous, sauf pour elle-même. Son corps est un bien vacant pour tous et sa « malvie » à elle seule. Elle erre comme dans un bien d’autrui, un mal à elle seule… » ! Lui qui castagnait sa femme en catimini sous le toit conjugal ! Kamel s’est donc rendu célèbre en diffusant la fake news des viols de Cologne qui n’ont jamais existé !
Sur le jugement en 3 pages – en langue arabe – que vous pouvez lire ci-dessous, publié le 12 octobre 2019, il est écrit que Kamel Daoud a été condamné, selon l’article 266 du code pénal, pour « coups et blessures volontaires avec arme blanche » contre son ex-épouse, mère de ses deux enfants, dont il avait divorcé. La peine était de 20.000 DA d’amende et une année de prison ferme.
Décidément le lobby sioniste est ultrapuissant et il sait le montrer. Si vous vous soumettez à son agenda politique, il saura vous remercier quelle que soit votre médiocrité ; preuve en est Kamel Daoud, Boualem Sansal, H. Chalghoumi, Mahomet Sifaoui…