Il suffit de lire les articles concernant le vaccin Pfizer/BioNTech publiés sur le site du dictionnaire des médicaments pour comprendre à quel point ce vaccin est au minimum inutile, au pire dangereux !
Vous pouvez lire cet article en suivant ce lien. Nous apprenons donc que l’efficacité de ce vaccin contre les formes sévères et seulement suggérée. pourtant, ce sont bien ces formes sévères qui sont les plus dangereuses pour le système de soins car nous n’avons pas assez de lits de réanimation. On se demande bien du coup à quoi peut bien servir ce vaccin ! Ceci est totalement assumée par la FDA dans son rapport.
Mais comme vous pouvez le constater sur la capture écran ci-dessous, des questions essentielles restent suspendues puisque l’étude de Pfizer n’y répond pas du tout. Par exemple, la possibilité d’effets secondaires graves et rares qui seront retardés dans le temps. Qu’en est-il aussi de la vaccination des personnes qui ont déjà eu la maladie ? Encore une fois, nous ne cesserons de le répéter, nous n’avons aucun test réalisé sur les enfants de moins de 16 ans. Du coup, est-ce qu’il faut vacciner les écoliers oui ou non ? Qu’en est-il également des femmes enceintes et allaitantes puisqu’il en existe 800 000 par an des premières et bien plus si on comptabilise les secondes ?
Les conclusions de cet article du Vidal sont ahurissantes ! On ne sait même pas en réalité si le vaccin est efficace pour les formes asymptomatiques, c’est-à-dire les personnes les plus nombreuses, près de 90 % des cas. Qu’en est-il également des cas de comorbidité, nous n’en savons rien ! C’est pourtant essentiel car ce sont bien les malades âgés avec de nombreuses comorbidités qui représentent le plus gros contingent des décès ! Faut-il rappeler que ce vaccin n’a pas été testé sur les personnes âgées et du coup nous ne savons absolument pas comment vont réagir les plus de 70 ans ! Ce sont pourtant les premiers qui ont été vaccinés en France dans les Ehpad ! On marche sur la tête. On ne sait même pas quelle est la durée de protection de ce vaccin ! Nous ne savons pas non plus si ce vaccin va permettre d’arrêter la contagiosité ! Du coup, Il faudra continuer à respecter les distances et les gestes barrières ainsi que le port du masque ! Même vaccinés, les restaurants, théâtres, cinémas devront du coup restés fermés !
De plus, alors que cet article du Vidal suggère de continuer l’étude C4591001 dans le futur – ce qui démontre que tout ceci n’est rien d’autre qu’un essai clinique sauvage, du pur charlatanisme – il faut savoir que les personnes qui ont participé au groupe placebo vont être également vaccinées, du coup il sera impossible de faire la comparaison dans le futur ; une totale escroquerie scientifique !
En réalité, cet article démontre à quel point il est totalement hasardeux, voire suicidaire, de se faire vacciner avec le produit de Pfizer/BioNTech. ajoutons à cela que tous les médecins qui poussnt à la vaccination avec ce produit sous prétexte d’urgence sanitaire se rendent coupable de la promotion d’un produit qui n’a pas fait preuve de son efficacité en piétinant en cela l’article 39 du code de déontologie. Nous ne sommes plus face à des médecins qui se basent sur la science pour prendre des décisions mais bien face à des charlatans, nous pataugeons en plein obscurantisme.
Il ne nous reste plus qu’à vous souhaiter bonne chance si tout de même vous décidez d’accepter cette vaccination en vous rappelant qu’il est nécessaire d’assumer les conséquences futures de cette thérapie génique.
Le 8 décembre 2020, Pfizer/BioNTech et la FDA (Food and Drug Administration) ont chacun publié un document d’information sur l’étude C4591001, l’étude de phase 2/3 du vaccin à ARN messager BNT162b contre la COVID-19. Cette étude a inclus 43 448 personnes dans 6 pays, avec une durée de suivi médiane d’un peu moins de 2 mois après la seconde injection de vaccin.
Selon ces documents, ce vaccin à ARN messager (ARNm) semble d’une grande efficacité (95 % de taux de protection sur l’ensemble des données analysées) pour prévenir les formes symptomatiques légères à modérées de COVID-19 chez les personnes n’ayant jamais été infectées par SARS-CoV-2. L’efficacité apparaît rapidement avec un taux de protection de 52,4 % dès la première injection.
Cette efficacité semble se maintenir à travers divers sous-groupes évalués selon leur âge, sexe, origine ethnique et certaines comorbidités. Par contre, les résultats présentés ne peuvent pas confirmer l’efficacité de ce vaccin contre les formes graves de COVID-19, ni contre les formes asymptomatiques, ni chez les personnes de plus de 75 ans.
Le profil de toxicité à court terme est rassurant, avec essentiellement des réactions habituellement observées après une vaccination, assez fréquentes, plus intenses chez les personnes de moins de 56 ans et après la seconde injection : fatigue, maux de tête, courbatures, frissons, douleurs articulaires, fièvre, etc.
Si ces résultats sont globalement encourageants, de nombreux questions persistent, tant sur la durée de l’immunité conférée que sur la protection des personnes les plus à risque de formes sévères, l’impact sur la transmission du virus par les personnes vaccinées, ou la toxicité à long terme. Si les données présentées semblent justifier une mise à disposition en urgence de ce vaccin, des études complémentaires seront rapidement nécessaires, ainsi qu’un dispositif de vaccinovigilance pour compenser le faible recul de l’étude C4591001.