Michel-Édouard Leclerc recule face à la mobilisation populaire qui appelle au boycott de son enseigne de grande distribution. Après ses propos inacceptables face à Laurence Ferrari, il a dû revoir sa copie en expliquant qu’il n’était pas pour ces restrictions. Il faut absolument continuer à boycotter cette enseigne afin d’en faire un exemple pour les autres, qu’ils comprennent que tous ceux qui jouent le jeu du régime seront sanctionnés financièrement.
Le parton des supermarchés E.Leclerc, a souhaité réagir, ce vendredi 7 janvier, suite à son intervention sur CNews, mardi, concernant la présence des non-vaccinés au sein de ses enseignes, dans un communiqué.
Par Jean Delterme
Publié le & mis à jour le
Un début d’année mouvementée pour Michel-Édouard Leclerc. Le parton des supermarchés E.Leclerc, a souhaité réagir, ce vendredi 7 janvier, suite à son intervention sur CNews, mardi, concernant la présence des non-vaccinés au sein de ses enseignes, dans un communiqué. Sur Twitter, le hashtag #boycottLeclerc s’était rapidement classé en tête des tendances, avec plus de 40.000 tweets.
“Eu égard à mes abonnés et à ceux qui fréquentent fidèlement l’enseigne, je souhaite qu’il ne subsiste aucune ambiguïté. Ni dans mes positions personnelles, ni de la part des équipes en magasin. Remettons les choses au clair, puisque cela semble nécessaire,” a déclaré Michel-Édouard Leclerc. Il a souhaité éclaircir la situation en quatre points et ainsi mettre un terme à la polémique.
Il a rappelé que les centres E.Leclerc n’étaient pas “demandeurs” d’augmenter toute contrainte sanitaire, ni de l’obligation du pass sanitaire en permanence. “Ce n’est pas l’intérêt d’une entreprise que de chercher à limiter sa clientèle ou à la discriminer. Beaucoup de nos hypermarchés et de centres commerciaux ont souffert cet été de cette pratique : clients comme salariés.” A-t-il précisé…