Si la vaccination rendait le virus encore plus mortel ?
C’est en particulier deux personnalités éminentes et critiques de la politique sanitaire actuelle, qui en ont discuté : la généticienne Alexandra Henrion-Caude, chercheuse à l’Inserm, et l’épidémiologiste irlandaise Dolores Cahill.
Cette étude de 2012, publiée dans la revue PlosOne, qui a le mérite d’être la revue médicale la plus lue au monde, avère que la vaccination sur les coronavirus des souris a eu pour résultat des effets inverses à ceux recherchés !
Les cobayes étaient en effet plus sensibles à la maladie et avaient plus de risques de mourir que ceux qui n’avaient pas été vaccinées !
L’étude conclut que la vaccination n’est pas le traitement adéquat pour ce type de virus, et ne devrait pas être administrée chez les humains. Du moins, elle devrait être essayée avec la plus grande précaution (2).
Évidemment, on ne vous en parle pas, et on met en avant la vaccination comme un sésame pour la liberté… ce que, répétons-le, elle n’est pas !
30 000 soignants français contre-attaquent
Les médecins français reçoivent environ 3 courriels par jour de leur administration pour les contraindre à vacciner au lieu de traiter, comme en témoigne Violaine Guérin(3).
Ce médecin, farouche défenseure du traitement contre la pandémie, a lancé un important manifeste, afin que ce traitement soit préféré à la vaccination.
Je vous encourage, si vous trouvez le temps, à signer ce manifeste qui gêne d’ores et déjà beaucoup le gouvernement français.
En outre, Violaine Guérin et les quelque 30 000 soignants qui la soutiennent, militent pour la création d’un comité scientifique indépendant.
Le matraquage vaccinal
Pourquoi certains États occidentaux insistent-ils tellement sur la vaccination ARN, alors que ni l’Asie ni l’Afrique ne le font ?
La réponse tient probablement dans les rapports très étroits qu’entretient l’administration avec les laboratoires pharmaceutiques comme c’était le cas pour les laboratoires Servier(4), producteurs du tristement célèbre Mediator.
Bien entendu, ce n’est pas l’argument que l’on nous sert.
Or cette expérimentation est sans précédent, tant du point de vue des populations atteintes que de la dangerosité potentielle des produits injectés.
Le traitement ARN n’est pas un vaccin au sens où l’on vous inoculerait un virus atténué ou « mort » afin que votre corps apprenne à se défendre contre lui.
C’est un traitement qui consiste à jouer sur le clavier de vos gênes, et qui pourrait être changé en fonction des évolutions des épidémies.
Il serait ainsi beaucoup plus souple et beaucoup plus efficace que la vaccination conventionnelle…
Dans la réalité, un vaccin a besoin d’être conservé à température très basse (-70°C) pour ne pas être altéré. On ne sait donc pas comment il joue sur nos gènes, d’autant plus qu’il n’a pas été adapté aux mutations récentes du virus !
Il est donc possible que ce vaccin soit très dangereux, sans servir à quoi que ce soit !
Que restera-t-il de la médecine ?
On comprend le manque d’empressement des médecins et des autorités de santé à prescrire ce « vaccin » !
Si les labos sont exonérés de toute responsabilité juridique, de tout dommage et d’intérêt, la réputation des autorités de santé et des médecins est en jeu.
Plus encore, la réputation de toute la médecine occidentale est sur la sellette.
D’autant que, répétons-le, la totalité des vaccins disponibles actuellement ont été produits dans un temps très court :
6 à 8 mois – 1 an au plus ! Or il faut en moyenne une dizaine d’années pour arriver à des résultats à peu près probants.
Le vaccin contre la grippe a mis 15 ans à être développé, et les chercheurs travaillent chaque année pour l’adapter aux mutations du virus…
… avec des succès pour le moins mitigés, puisque pour la grippe, 1 personne vaccinée sur 2 n’est pas immunisée.
Les vaccins contre la pandémie arrivent donc sur le marché avec un temps de retard sur la mutation naturelle des virus, avec une efficacité incertaine…
… et des effets secondaires qui, eux, seront très réels. |