Voici ce qui arrive quand on laisse le gouvernement faire n’importe quoi en imposant des confinements pendant des mois avec la mise en place de PGE d’argent magique qui doit être remboursé aujourd’hui ! Des dizaines de milliers de faillites un peu partout en France avec des centres-villes dévastés ! On a juste envie de dire un gros Cheeeh à ces guignols serviles qui ont imposé les passes sanitaires, ont accepté de fermer boutique pendant des mois… sans rouspéter et encore moins manifester !
Comme le monde fonctionne toujours selon les mêmes règles cosmiques, il faut toujours assumer ses choix. Ainsi la facture à payer se présente aujourd’hui et elle est salée. Les conséquences de ces faillites sont dramatiques pour l’économie, le chômage… alors que la France est déjà dans une situation critique. Des familles entières vont plonger dans la précarité, voire la pauvreté. Le divorce va faire des ravages… et ainsi de suite.
Merci qui ? Merciiiii macronnnn !
« Merci pour ces dix années. Fred et la team Scotch. » Dans les rues piétonnes de Bordeaux, les mots de remerciement à la clientèle habillent les vitrines vides. En cette rentrée, nombre d’enseignes ont définitivement baissé le rideau. Le tribunal de commerce enregistre un pic historique de liquidations judiciaires dans la métropole : +35 % par rapport à l’année dernière.
Les petits commerces sont les premiers concernés. « Les coiffeurs, boulangers, vendeurs de chaussures ou de vêtements… Le coût de l’énergie leur a fait du mal », constate Marc Salaun, président du tribunal de commerce de Bordeaux qui instruit actuellement 1 800 procédures collectives. Aux côtés des petits commerces, de nombreuses entreprises du bâtiment ont aussi déposé le bilan ces derniers mois, entraînées par les difficultés des promoteurs immobiliers à vendre leurs biens.
Troisième secteur en difficulté : les bars et restaurants. Les patrons nous disent que les clients viennent encore, mais ils consomment moins.
Marc Salaun
Président du tribunal de commerce de Bordeaux
Le taux de vacance a explosé dans le centre-ville de Bordeaux. « La faute à la crise économique. Les commerces ont des charges qui augmentent. Les loyers, c’est 5% d’augmentation entre 2022 et 2023, 14% depuis 2020. Il faut aussi augmenter les salaires des employés qui ne s’en sortent plus. Les chiffres d’affaires baissent… Il y a beaucoup de facteurs », regrette Simon Georges, président de Bordeaux mon commerce, une association qui compte 1300 adhérents.
C’est une hécatombe. Les commerçants ferment les uns après les autres. On est dans une succession de crises.
Simon Georges
Président de Bordeaux mon commerce
Beaucoup peineraient aussi à rembourser les aides perçues pendant « la période Covid » et notamment les Prêts garantis par l’État (PGE) accordés à plus de 600 000 entreprises. « Certains ont imaginé que les PGE seraient offerts. Des cotisations URSAFF n’ont pas été réclamées en 2020 et 2021, mais elles ne passent pas à la trappe, donc les entreprises ont des retards de paiement », continue Marc Salaun. Des montants parfois impossibles à rembourser à l’heure actuelle pour ceux qui n’ont pas encore remonté la pente depuis la crise sanitaire…
Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/coiffeurs-entreprises-du-btp-restaurants-dans-cette-metropole-le-nombre-de-liquidations-judiciaires-explose-3037382.html