Il y a plus de 30 ans, en 1990, il y avait plus d’un millions de naissances supplémentaires en Europe alors que la population est largement inférieure en nombre ! Logiquement, mathématiquement, il devrait y avoir plus de naissances aujourd’hui mais il semble que les Européens ne veulent plus (terrorisme covidiste, éco-anxiété) ou ne peuvent plus faire d’enfants (effets indésirables des vaccins ARNm…). La population européenne est en train de disparaitre car elle ne veut plus se renouveler par le mariage et les naissances.
Pour la première fois depuis 1960, le nombre de naissances vivantes dans l’UE est tombé en dessous de 4 millions, l’un des taux de fécondité les plus bas au monde.
En 2022, le nombre de naissances vivantes dans l’Union européenne a atteint son niveau le plus bas depuis 1960, selon les dernières données disponibles.
Cette année-là, seulement 3,88 millions de bébés sont nés dans l’UE, ce qui représente la première fois que ce chiffre tombe en dessous de 4 millions.
Le taux de fécondité a également diminué, approchant les niveaux d’il y a deux décennies. L’UE a l’un des taux de fécondité les plus bas au monde, défini comme le nombre de naissances vivantes par femme.
Mais comment les taux de fécondité se comparent-ils entre les différentes parties de l’Europe et comment le taux de fécondité a-t-il changé en Europe par rapport au reste du monde ?
Depuis 1960, le nombre d’enfants nés dans l’UE a tendance à diminuer. Le nombre le plus bas a été enregistré en 2022 à 3,88 millions.
En 1990, 5,1 millions de bébés sont nés dans l’UE, marquant la dernière année où les naissances ont dépassé 5 millions.
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