Dès le début de cette campagne d’injections hasardeuses criminelles, des effets catastrophiques sur le sang se sont multipliés avec des thromboses et des saignements importants dus à la destruction des plaquettes. On le sait depuis plus de 2 ans maintenant, c’est un fait. Faire prendre un tel risque, aussi important, pouvant tuer la personne injectée alors que les moins de 40 ans n’ont absolument aucun risque de mourir du Covid-19 relève tout simplement du crime prémédité. Avant l’hystérie du Covid-19, quelques décès seulement auraient permis le retrait immédiat du produit commercialisé, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, même des centaines de milliers de décès n’empêcheraient pas certains covidistes de continuer le massacre !
Les cas de thrombose sont plus fréquents après le vaccin antiCovid d’AstraZeneca qu’après celui de Pfizer/BioNTech, même s’ils restent très rares, détaille une étude publiée jeudi.
Celle-ci confirme donc un risque déjà pris en compte par les autorités sanitaires. « Après une première dose (du vaccin AstraZeneca), on observe un risque de thrombopénie supérieur de 30 % par rapport à une première dose (du vaccin Pfizer/BioNTech) », résume cette étude de grande ampleur, publiée dans le British Medical Journal (BMJ).
La thrombopénie est une forme de thrombose, c’est-à-dire la formation d’un caillot de sang avec des conséquences potentiellement mortelles. Après le lancement des campagnes de vaccination antiCovid début 2021, un lien a rapidement été suspecté entre les vaccins à vecteur viral (AstraZeneca et Johnson & Johnson) et la survenue de ces troubles sanguins.
862 cas pour plus d’un million de vaccinés
L’étude du BMJ, réalisée à partir de données de santé de millions de patients à travers plusieurs pays européens et aux Etats-Unis, confirme que ces thromboses sont plus fréquentes après le vaccin AstraZeneca, même si leur fréquence reste très faible : 862 cas pour plus d’un million de vaccinés. Le risque apparaît accru après la première dose. Après la seconde, il n’y a pas de différence entre les vaccins AstraZeneca et Pfizer/BioNTech.
Quant au vaccin Johnson & Johnson, les données vont plutôt dans le sens d’un risque accru mais pas de manière assez nette pour que les chercheurs puissent conclure franchement. Ces risques doivent « être pris en compte dans les futures campagnes de vaccination et le développement de futurs vaccins », conclut l’étude.
Jamais approuvé aux États-Unis
De fait, les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson ont d’ores et déjà été largement abandonnés au profit de leurs homologues Pfizer/BioNTech et Moderna, tous deux à ARN messager, dans les pays européens. Aux Etats-Unis, AstraZeneca n’a, lui, jamais été approuvé.
AstraZeneca et Johnson & Johnson gardent en revanche une place centrale dans Covax, un dispositif d’aide internationale à la vaccination Covid pour les pays moins riches. L’étude du BMJ vient surtout confirmer « que tous les vaccins [antiCovid] sont sûrs et efficaces », a estimé la microbiologiste Sarah Pitt, qui n’y a pas participé, pointant la fréquence « extrêmement rare » des thrombopénies.
Photo d’illustration : Des vaccins AstraZeneca. — Mustasinur Rahman Alvi/Shutterst
27 octobre 2022