Tous les arguments avancés dans cet article sont faux et tout le monde peut le constater, il suffit de reprendre les chiffres de la mortalité de cette tranche d’âge des années 2020 et 2021. Si le Covid-19 était si dangereux pour les bébés, pour les enfants en bas âge avec comorbidités, les morts auraient été nombreuses. Cela n’a pas été le cas jusqu’à présent et continuer d’affirmer l’inverse 2 ans après le début de la crise relève du crime et de la volonté d’assassiner des gens qui n’ont rien demandé et qui ne risquent rien.
Faut-il ajouter que l’étude a eu le culot de considérer comme femmes non vaccinées celles n’ayant reçu aucune vaccination antérieure contre la COVID-19 avant la date d’apparition du COVID-19 ou avec une dose de vaccination ≤ 21 jours avant la date de début de la maladie ! Si on comprend bien, une femme enceinte vaccinée une fois et qui tombe malade moins de 3 semaines après est considérée comme non-vaccinée ! Tout ceci est publié de surcroît dans la prestigieuse revue Nature.
“À ce jour, il y a eu un décès maternel suite à une infection par le SRAS-CoV-2 pendant la grossesse en Écosse.”
De plus, l’article avoue qu’il n’y a eu qu’un seul décès de femme enceinte en Écosse à ce jour ! Du coup, on aimerait vraiment savoir comment est-il possible de créer une telle panique et vacciner la totalité des femmes enceintes pour un seul décès ? Ceci n’a rien à voir avec la médecine ni avec la santé publique, et c’est de surcroît une très mauvaise gestion du budget de la Sécurité sociale. Il est d’ailleurs assez comique d’oser parler de formes graves pour les femmes enceintes non-vaccinées tout en déclarant qu’il n’y a eu qu’un seul décès à ce jour !
Pour finir, quel que soit le résultat de cette étude totalement biaisée et d’une grande stupidité, jamais de toute l’histoire de la médecine moderne les femmes enceintes n’ont été vaccinées. C’est d’autant plus fou et incompréhensible qu’il n’est pas question ici de vaccination mais d’injection de produits nouveaux basés sur l’ARN messager, sans aucun recul. D’ailleurs, les fabricants eux-mêmes, Pfizer et Moderna, n’ont pas réalisé leurs essais cliniques en incluant les femmes enceintes ; ces dernières ont été utilisées comme des cobayes par les autorités sanitaires
Les femmes enceintes, un public fragile face au Covid-19.
D’après les résultats d’une étude écossaise publiée dans la revue Nature, les femmes qui attendent un enfant et qui n’ont pas été vaccinées contre le virus présentent des risques plus importants pour leur santé que celles ayant reçu le vaccin.
Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont analysé le taux d’infection, le taux d’hospitalisation et celui en soins critiques chez les femmes enceintes en Écosse entre décembre 2020 et octobre 2021. Selon eux, “77,4% des infections, 90,9% des hospitalisations et 98% des admissions en soins intensifs sont survenus chez des femmes enceintes qui n’étaient pas vaccinées au moment du diagnostic du Covid-19.”
Les bébés également en danger
Sur la base de cette étude, le ministère de la Santé rappelle la « nécessité de vacciner les femmes enceintes », car « trop se retrouvent en réanimation ». Or, selon les auteurs de l’étude écossaise, la plupart d’entre elles ne sont pas vaccinées. « 32,3% des femmes ayant accouché en octobre 2021 ont reçu deux doses de vaccin contre 77,4% chez l’ensemble des femmes, » écrivent-ils.
Outre les risques sanitaires pour les futures mères, des risques persistent également pour les nourrissons. D’après les scientifiques, « tous les décès de bébés » liés au Covid-19 durant la période de l’étude sont survenus en cas d’absence de vaccination de la mère. Or, « une femme non-vaccinée a 22 fois plus de risques d’avoir un enfant prématuré », et « cinq fois plus de risques de voir son enfant en réanimation », estime le ministère de la Santé.
« Ce sont des chiffres très marquants », commente-t-on du côté du ministère. Pour rappel, les femmes enceintes sont concernées par la vaccination « dès le premier trimestre » de grossesse. « La grossesse ne constitue pas une contre-indication à la vaccination, » est-il précisé sur son site. Les vaccins à ARN messager (Pfizer ou Moderna) doivent être utilisés.
I.N
1er février 2022