Il y a 10 à 15 fois plus d’effets indésirables nécessitant des soins que ceux déclarés par la pharmacovigilance officielle. Vu que ce sont les assurances maladies et mutuelles qui doivent payer les frais médicaux, d’aucuns vont se faire un plaisir de dénoncer cette explosion de cas pour pouvoir recevoir une aide du gouvernement. Cette information est officielle, elle a été publiée dans un grand quotidien allemand, et pourtant personne n’en parle aujourd’hui sur vos écrans télé… Le courrier a été traduit en français, il est disponible ci-dessous.
Allemagne, vaccins : “Une analyse des données de millions d’assurés de la compagnie d’assurance maladie BKK aboutit à des chiffres d’effets secondaires nettement plus élevés que (les chiffres officiels). Les nouvelles données sont un “signal d’alarme”.
2/7 “Selon nos calculs, nous estimons que 400.000 consultations médicales pour des complications liées à la vaccination sont un chiffre réaliste (pour nos assurés). Extrapolé à l’ensemble de la population, ce chiffre serait de trois millions”.
3/7 Pour se figurer la différence entre les chiffres officiels et ceux de l’assureur, il suffit de comparer les histogrammes des pourcentages (risque) d’événements indésirables obtenus ici. “PEI”, Paul Ehrlich Institut, ce sont les chiffres officiels, BKK ceux de l’assureur.
4/7 Si on utilise le facteur de sous-notification obtenu en comparant BKK avec PEI pour obtenir une évaluation plus réaliste du nombre d’événements indésirables dans la population allemande, on passe en effet tout simplement de 244’000 (chiffre officiel) à plus de 3 millions !
5/7 Ce facteur de sous-notification de 13 est en fait un strict minimum, parce qu’il dépend des décisions des médecins. Je rappelle que des bases plus objectives suggèrent pour VAERS des facteurs 30 ou 40 :