Très tardive, lente, inutile mais importante pour démontrer la folie et la corruption d’un système de soins devenu fou et injectant des produits inconnus sur des jeunes femmes qui ne risquaient absolument rien avec la maladie ! On imagine aussi la technique du journaliste, il va tenter de minimiser les effets indésirables en affirmant qu’ils sont légers et passagers… se moquant encore une fois des victimes qui n’ont plus de menstrues depuis le début des injections. Faut-il ajouter que certaines victimes ont été hospitalisées tant la situation était grave ?
Une étude française, publiée ce mercredi 24 janvier, va dans le sens d’un risque de troubles menstruels après une première injection d’un vaccin à ARN messagers. Des résultats « fournissent de nouveaux arguments en faveur de l’existence d’un risque augmenté de saignements menstruels abondants dans les trois mois ».
Elle a été menée par l’organisation Epi-Phare, un groupement d’intérêt scientifique, associant l’autorité du médicament (ANSM) et la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam), créé en 2018.
Un risque augmenté de saignements plus abondants
Les résultats de l’étude « fournissent de nouveaux arguments en faveur de l’existence d’un risque augmenté de saignements menstruels abondants dans les trois mois suivant la primovaccination contre le Covid-19 par vaccin à ARNm », explique dans un communiqué Epi-Phare. Cela ne concerne donc que les vaccins Pfizer et Moderna.
« Ce risque de saignements menstruels abondants nécessitant une prise en charge à l’hôpital était augmenté de 20 % pour les femmes dont la dernière dose reçue était une dose de primovaccination administrée dans les un à trois mois précédents », précise encore le communiqué.
À noter que « le risque n’apparaît pas augmenté au-delà de trois mois après la primo-vaccination, ni après l’administration d’une dose de rappel »…