Selon une nouvelle étude, des fragments d’ARNm du vaccin anti-Covid ont été trouvés dans le lait maternel de femmes récemment vaccinées. Contrairement aux affirmations des médecins corrompus et des experts incompétents des plateaux télé, des brins d’ARN messager des injections anti-Covid-19 circulent dans tout le corps humain et ne restent absolument pas sur le site d’injection ; c’est factuel, aujourd’hui démontré. Petit à petit la vérité refait surface et la propagande covidiste s’effondre jour après jour.
Au même moment, l’OMS continue sa propagande en publiant un post sur les réseaux sociaux qui incite les femmes enceintes à se faire injecter avec ces mêmes vaccins. Pourtant, elles ne sont pas du tout concernées par la maladie comme tout le monde a pu le constater ces 3 dernières années, étant jeunes et en pleine santé. Nous pouvons également remarquer comment la campagne de promotion de cette injection dangereuse est reçue par la population, il suffit de lire les commentaires laissés par les internautes sur Facebook ou Twitter pour comprendre à quel point l’OMS est totalement déconnectée du monde réel, elle ne représente qu’elle-même et les lobbys.
L’étude, menée sur 13 femmes en bonne santé ayant récemment accouché, a analysé des échantillons de leur lait maternel.
Les chercheurs ont identifié des traces d’ARNm du vaccin Pfizer jusqu’à 45 heures après la vaccination. Il est important de noter que ces traces étaient sous forme de petits fragments, et non de brins d’ARNm intacts.
Les auteurs ont conclu que le vaccin ne reste pas entièrement au point d’injection, et que des fragments d’ARNm se propagent dans tout le corps, pouvant également se retrouver dans le lait maternel. Ils assurent qu’il n’y a aucun risque pour les nouveaux-nés, surtout 48 heures après la vaccination, lorsque les fragments ne sont plus détectables.
En accord avec les recommandations du Conseil Supérieur de la Santé, qui affirme l’absence de problèmes attendus en termes d’efficacité et de sécurité des vaccins à ARNm pendant la grossesse ou l’allaitement, les femmes allaitantes peuvent être vaccinées, en particulier en présence de facteurs de risque. Par ailleurs, l’Organisation mondiale de la santé préconise de ne pas interrompre l’allaitement après vaccination.
Les concentrations d’ARNm détectées dans le lait maternel sont extrêmement faibles et ne peuvent être détectées qu’avec des techniques de détection très sensibles. Des recherches approfondies sur ces fragments montrent qu’ils sont inactifs et disparaissent dans les 45 heures.
Finalement, aucune raison de s’alarmer. Au contraire, le lait maternel des mères vaccinées contient des anticorps contre le Covid-19, protégeant également le nourrisson en cas d’infection.
Photo d’illustration : © Shutterstock
Antoine Denis
Source : Gezondheid en Wetenschap (Infosanté)
4 décembre 2023