Dans n’importe quelle autre entreprise dans le monde, l’explosion des attaques ferait se réunir la direction afin de comprendre ce qui se passe avec le produit vendu ! C’est ce que devrait faire n’importe quel être humain doué de raison afin d’améliorer la situation et de surtout comprendre ce qui se passe. Certes, les journalistes ont très peu de crédibilité dans le monde, un petit pourcentage de la population croit en leur travail mais il n’y avait pas cette haine malsaine, cette dernière a explosé avec la crise du Covid-19. Que voulaient-ils comme résultat lorsque les autorités appellent au confinement des masses et que les médias se rendent complices d’un terrorisme sanitaire quotidien qui dure des mois !
Lorsque vous prenez le sondage Ipsos ci-dessous, vous pouvez constater que les métiers qui ont un plus faible niveau de confiance dans la population française sont ceux de journaliste, banquier et politicien, juste avant celui de publicitaire, c’est-à-dire menteur professionnel ; en dernier lieu vous avez les membres du gouvernement qui sont à 10 %. À partir du moment où cet index 2021 montre un tel niveau de défiance, lorsque l’on est honnête on se pose des questions. Malheureusement, les journalistes ne veulent pas commencer ce travail d’autocritique, pire encore, ils ont aggravé leur cas, ils ont définitivement détruit ce qu’il leur restait de crédibilité avec la crise sanitaire du Covid-19.
Juste avant la crise sanitaire Covid-19, les journalistes étaient méprisés en tant que corps de métier, la population savait qu’il n’était rien d’autre que la courroie de transmission des mensonges gouvernementaux mais il n’y avait pas cette haine exacerbée. Pourtant, que s’est-il passé pour que la situation change à ce point et que des citoyens lambda commencent du jour au lendemain à harceler, insulter, menacer de mort et de violence des journalistes qu’ils ignoraient hier ? C’est très simple, il suffit d’ouvrir les yeux pour le voir. Les journalistes se sont transformés en courroies de transmission des mensonges gouvernementaux ainsi que ceux de l’industrie pharmaco-chimique. Ces mêmes journalistes se sont retrouvés en train d’insulter des pans entiers de la population, ont validé l’exclusion et la mise au chômage de familles entières, ont poussé à la radiation de médecins… Leur comportement est d’une extrême violence et ne peut que récolter des réactions tout aussi violentes car on récolte ce que l’on sème.
Les journalistes, malgré de très nombreux scandales pharmaceutiques ces dernières décennies, ont fait semblant d’oublier le pedigree de Big Pharma. Ils se sont donc rendus complices du crime actuel. Leur comportement a été au quotidien un trouble à l’ordre public en voulant imposer l’inacceptable à des millions de personnes. Ces mêmes journalistes incompétents hier en question médicale se sont transformés comme par magie en expert en virologie, épidémiologie allant jusqu’à insulter de manière extrêmement violentes les plus grands experts mondiaux, ils ont tiré à boulets rouges sur des plus importants lanceurs d’alertes, médecins émérites aux CV prestigieux.
En réalité nous assistons ici à une inversion accusatoire qui consiste à faire croire qu’ils sont les victimes alors qu’ils ne sont rien d’autre que les coupables d’un dérapage monstrueux, historique, dont ils sont les seuls responsables. Depuis le début de cette crise sanitaire ils se sont trompés sur absolument tout les sujets épineux : l’origine laborantine du virus, l’utilité des confinements, le monumental scandale du Lancet gate, l’importance du traitement précoce, la promotion systématique de produits pharmaceutiques dangereux et inutiles comme le Remdesivir, Kaletra…, la gravité des effets indésirables poste vaccinaux…
Mais comme la médiocrité de ces journalistes n’a pas de limites, vous allez pouvoir voir dans la vidéo ci-dessous comment Rachel Gilmore accuse ses contradicteurs de “misogynie” car selon elle toute cette haine vient du fait que c’est une pauvre petite femme ! Toujours cette manie de se victimiser et de tout ramenait vers soi…
Rachel Gilmore says the hate she is receiving is unfair, and notes that the latter is happening because she is a woman. She notes that white men do not have to deal with havoc to the same extent. pic.twitter.com/v7byn8gNRv
— Élie Cantin-Nantel (@elie_mcn) December 3, 2022
Pourtant, sur les 84 % de manque de confiance concernant le métier de journaliste, il y a aussi bien des hommes que des femmes, là n’est pas la question. Nous assistons en réalité à un aveuglement total de la part d’une caste corrompue, médiocre, incompétente, qui ne voudra jamais avouer l’ampleur de sa bêtise. Certes une haine en ligne a explosé avec la crise Covid-19 mais la solution a été trouvée depuis longtemps par la population qui ne donne plus aucun crédit à ses agents de propagande, ne les écoute plus, ils sont d’ailleurs tous en faillite et ne doivent leur salut qu’au milliard d’euros de subventions publiques ainsi qu’à l’argent des oligarques milliardaires.
(Ottawa) « J’en ai assez » : acculée sur les réseaux sociaux, une journaliste a récemment lancé un cri d’alarme, épuisée par la montée de la haine et des menaces proférées contre elle et d’autres reporters.
Rachel Gilmore, journaliste à Global News, a ainsi appelé sur Twitter et TikTok la police et Ottawa à prendre au sérieux le harcèlement qui a atteint un pic au cours de l’année, estimant que l’un des piliers de la démocratie canadienne est en danger.
« La presse indépendante est menacée », avertit-elle. « Nous ne serons pas réduits au silence. Mais nous avons besoin que vous vous leviez pour nous. »
Plus tôt ce mois-ci, 52 journaux, radiodiffuseurs et médias canadiens ont exhorté dans une lettre ouverte les dirigeants politiques à agir, martelant que « la haine et les menaces qui frappent les journalistes ont un effet paralysant qui met à mal la démocratie » et dénoncé « toute tentative d’affaiblir » la presse.
Émissions en direct interrompues pour cause de huées, messages obscènes en ligne, menaces… des journalistes en parlent comme d’un véritable assaut, qui prend à la gorge la profession.
Certains disent être effrayés à l’idée de quitter leurs domiciles, d’autres relatent avoir été contraints de prendre des mesures extraordinaires de sécurité.
« C’est incessant », déplore Erica Ifill, chroniqueuse au journal The Hill Times à Ottawa. « Ça va des menaces de mort aux menaces de viol, en passant par des personnes qui nous font savoir qu’elles nous surveillent. »
« Je pense que je devrais peut-être quitter le journalisme », lâche-t-elle.
L’Association canadienne des journalistes estime ainsi que les attaques « menacent non seulement la sécurité et le bien-être des journalistes, mais aussi le bon fonctionnement de la démocratie elle-même ».
« Le harcèlement en ligne est un fléau pour notre démocratie et il doit cesser », a dénoncé l’association, soulignant que ces « abus ignobles » sont le plus souvent dirigés contre les femmes, les personnes LGBTQ+ et les journalistes issus de l’immigration.
Pour Saba Eitizaz duToronto Star, la situation s’est tellement aggravée — elle est citée dans des dizaines de messages haineux par jour — qu’elle a dû prendre un congé maladie.
« C’est certainement bien pire et bien plus insidieux qu’une sorte de désenchantement général du public envers les médias », regrette-t-elle auprès de l’AFP.
« Effet paralysant »
Rachel Gilmore et bien d’autres ont été insultés sur les réseaux sociaux. « Je vais te tuer salope, tu ferais mieux de surveiller tes arrières quand tu es en public », peut-on lire dans un message.
D’après Saba Eitizaz, tout a commencé fin 2021, lorsqu’un homme politique d’extrême droite a appelé ses partisans à « faire des coups bas aux journalistes ». Puis la situation s’est aggravée avec le « Convoi de la liberté », dans un contexte de méfiance à l’égard des médias traditionnels.
« Maintenant, je redoute constamment d’ouvrir mes messages privés », confie-t-elle.
Originaire du Pakistan, cette journaliste explique avoir fui au Canada après avoir été ciblée par une « campagne malveillante similaire en ligne » lancée après ses reportages sur les droits de la personne. « Je suis venue ici pour ma sécurité », explique-t-elle.
Erica Ifill et d’autres personnes attribuent la montée de la haine à une multitude de facteurs : la polarisation politique, l’insécurité économique et une pandémie qui a forcé les gens à s’isoler, « assis chez eux devant leur ordinateur, effrayés et en colère ».
Le ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, a réagi sur Twitter : « les abus dont Rachel et d’autres journalistes ont été victimes […] sont odieux et inacceptables ».
Les autorités sont réticentes à inculper les auteurs de ces actes, ont regretté plusieurs journalistes auprès de l’AFP.
« Ils ne voient pas ces gens comme une menace », a expliqué Erica Ifill.
Contactée, la police d’Ottawa n’a pas souhaité indiquer si des enquêtes avaient été ouvertes après des plaintes de journalistes, mais l’agent Mike Cudrasov a précisé que « les allégations de menaces sont prises au sérieux. »
Ottawa doit également dévoiler en 2023 une « loi sur la sécurité en ligne » qui a suscité chez certains l’espoir de freiner les mauvais comportements. De hauts fonctionnaires ont indiqué à l’AFP que ce sont les plateformes qui modéreront les contenus.