Une campagne de diffamation extrêmement agressive a été lancée en Suisse contre Monsieur Salim Laïbi, ce qui a conduit à l’annulation de sa conférence d’aujourd’hui à Étoy. Un journal local, 24h, a publié un papier mensonger, un droit de réponse a été demandé, nous le publions ici. Si le droit de réponse est refusé, nous nous réservons le droit de déposer plainte contre le journal. Comme de coutume, le journaliste n’a pas estimé nécessaire de contacter Monsieur Salim Laïbi comme l’exige le métier, ce qui constitue une faute professionnelle.
Droit de réponse au journal 24h
Nous avons eu, hier, la mauvaise surprise de découvrir, dans les colonnes de votre journal, des accusations pour le moins lourdes, visant M. Salim Laïbi. Aussi, nous vous demandons, comme l’exigent la déontologie du métier de journaliste ainsi que les dispositions de l’article 28 du code civil, de bien vouloir insérer ce droit de réponse sous votre article Web et dans le prochain tirage papier.
Il convient, en premier lieu, de rappeler qu’aucun journaliste ne nous a contacté afin de comprendre qui est M. Salim Laïbi et quelle est la teneur de son travail depuis plus de 15 ans maintenant !
Si l’auteur de cet article avait eu ce réflexe, nous aurions pu lui expliquer qu’une dizaine de conférences avaient déjà été réalisées en France – ainsi qu’une dernière à Waterloo en Belgique visualisable en ligne – et qu’à chaque fois, cela s’est très bien passé, comme le démontrent les photos que nous postons régulièrement sur nos sites web (1) et réseaux sociaux. Du reste, cette conférence de Waterloo (2), diffusée en direct, est accessible à tout un chacun, de sorte qu’une idée précise des propos tenus est offerte au public. Nous avons réalisé depuis 15 ans des dizaines de conférences en France et ailleurs et il n’y a jamais eu le moindre souci.
Il nous semble hasardeux, en second lieu, qu’un article particulièrement diffamatoire du magazine Le Point ait été repris dans vos colonnes alors que lui-même avait fait l’objet d’un droit de réponse de la magistrate de la Chambre disciplinaire de première instance de l’ordre des chirurgiens-dentistes des Bouches-du-Rhône. Ce droit de réponse remettait en cause l’auteur de l’article, en l’occurrence M. Aziz Zemouri, un article, au demeurant, lui-même « complotiste » puisqu’il accuse la magistrate de comploter pour protéger M. Salim Laïbi !
Il serait d’ailleurs édifiant et plus honnête que soit précisé à quelle personne ou entité, fait allusion ce pronom relatif « qui », employé au singulier, de l’article du Point titré « Qui protège Salim Laïbi, le « libre-penseur » d’extrême droite ? » ?
Enfin, l’accusation de complotisme-conspirationnisme souvent mise en avant par ceux qui sont en panne d’arguments, n’existe pas juridiquement parlant. La liberté d’expression doit être respectée et le débat rester ouvert, car seule l’argumentation par les faits, et seulement les faits, permet d’avancer.
En espérant que ce droit de réponse sera publié conformément aux usages du noble métier de journaliste, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
1- https://www.editionsfiatlux.com/
2- https://www.editionsfiatlux.com/?p=40123