Parlons de l’ensauvagement de la France, de son embestialisation. Tous les jours des crimes d’une sauvagerie inouïe, en France, en Europe… Crépol, Dublin, et tant d’autres, médiatisés ou pas… dont les victimes ont déposé plainte ou pas… crimes punis par la Justice ou pas… Et quand la population manifeste contre ce déchaînement de bestialité infernal, l’État considère ces manifestations comme un affront contre l’ordre social, et la police réprime implacablement cet affront… les policiers devenant même les supplétifs des hordes aux couteaux !… ou inversement. Les droits de la bestialité ont phagocyté les droits de l’homme. Il va arriver un moment où les Français iront se réfugier en Colombie, à Bogota, à Cali ou à Medellin, pour fuir la violence totalement déchaînée en douce France. Mais déchaînée par qui précisément ? QUI ? La cause immédiate est de toute évidence l’immigration hors de contrôle, la passoire sans-frontiériste… immigration massive inarrêtable qui déstabilise et détruit finalement l’identité de la France. Il faut bien-sûr arrêter le feu, mais surtout arrêter l’incendiaire. Les incendiaires. Les fanatiques du sans-frontiérisme et des trafics en tous genres. Sans-frontiérisme promu hystériquement dans les institutions, les médias, la culture… La guerre contre ces incendiaires c’est donc d’abord une guerre idéologique contre le fanatisme sans-frontiériste, une guerre culturelle, à la Gramsci. Une guerre implacable dominée pour l’instant par les sans-frontiéristes mais qui pourrait bien basculer par la brèche des réseaux alternatifs. À y regarder de près, la première immigration massive ayant détruit un peuple, c’est l’immigration massive de Juifs vers la Palestine à partir du 2 novembre 1917, date à laquelle fut écrite la Déclaration Balfour permettant l’établissement d’un foyer national juif en Palestine, alors sous mandat britannique (5 jours plus tard, le 7 novembre 1917, éclata la révolution judéo-bolchevique internationaliste sans-frontiériste… !) ; cette immigration massive de colons sionistes en Palestine dura 22 ans, de 1917 à 1939, et entraîna dès le début de violents conflits avec les populations locales musulmane ET juive, conflits si violents que l’Angleterre mit un terme à cette immigration en 1939, avec la publication du troisième Livre blanc, et la seconde guerre mondiale éclata… Contrairement à la colonisation militaire armée classique, cette colonisation sioniste n’était pas militairement armée. L’immigration massive actuelle vers l’Europe (immigration majoritairement musulmane) s’accomplit finalement dans le sillage de l’immigration massive sioniste inaugurée par la déclaration Balfour (le fameux « islam balai d’Israël » du rabbin Touitou, balai qui se retourne finalement contre Israël… !). Les nationalistes qui combattent cette folie de l’immigration massive tout en sanctifiant la Déclaration Balfour qui la fonde sont tellement crétins qu’ils me rendent triste. Cette folie migratoire destructrice de nations fonde l’empire sans-frontière des trafics bestiaux. D’abord, les trafics de drogue…, en plus du cannabis, la cocaïne circule bien à Paris, bien mieux que les voitures ; elle circule bien chez les bourgeois et les peoples notamment… pourquoi ne pas torturer à l’ancienne ces encocaïnés pour obtenir les noms de leurs dealers ? Pourquoi la police ne le fait pas ? Pour protéger ce trafic ? Une enquête du courageux journaliste Gary Webb, publiée en 1996, n’a-t-elle pas montré comment le financement des Contras au Nicaragua dans les années 1980 par des narcotrafiquants fut aidé par la CIA qui facilita la distribution de crack dans les banlieues noires de Los Angeles, le ghetto de Watts notamment ?… L’État protège ce type de trafic mais quels autres trafics ? Trafic d’êtres humains, trafic de femmes, trafic d’enfants, trafic d’argent, trafic d’armes, trafic d’organes, trafic d’influence… ? Et j’en passe… Lorsqu’on creuse la piste de l’incendiaire, il faut remonter jusqu’aux donneurs d’ordre, aux premiers donneurs d’ordre, aux plus puissants. Et si ces plus puissants trafiquants sans-frontières sont au-dessus de l’État, vous comprenez bien que ça devient compliqué. L’empire mondialisé de la bestialité triomphe et les États sont les petits exécutants minables, toujours au service inconditionnel d’Israël, en tous cas en Occident. Tant qu’il y aura des décideurs au-dessus de L’État, il y aura peu ou pas d’espoirs d’endiguer cette violence. Sauf à avoir des hommes droits à la tête de l’État, qui résistent tant bien que mal à l’empire mondialisé de la bestialité. Résistants rares, trop rares, bien trop rares qui, comme Poutine, sont diabolisés à outrance par l’empire mondialisé de la bestialité. On en vient donc à penser qu’il faut peut-être abolir l’État. Évidemment l’abolition de l’État peut conduire à des petites communautés régionales où les gens vivent en bonne intelligence, sans interférence parasitaire de l’État. Mais cela peut conduire aussi à l’enfer ; dans certains coins de Colombie il n’y a certes plus d’État mais la violence radicale sans issue y règne en maître. Alors vers quoi allons-nous si l’État est aboli ? Eh bien, vers une guerre perpétuelle entre des communautés vivant en bonne intelligence et des communautés gangrenées par la violence. Je vais finir par penser qu’il n’y a pas de solution politique. Car si la forme État l’emporte finalement, elle deviendra fatalement totalitaire, comme on la voit se dessiner en Chine ; les violences urbaines cesseront, certes, mais les personnes seront implacablement broyées par l’État tout-puissant. Sauf si l’État est dirigé par le Christ. Tout comme, dit la Genèse biblique, le mal est descendu du Ciel par les Béni-Elohim et les Nephilims – cette postérité du Serpent qui a établi l’empire mondialisé de la bestialité -, le bien descendra peut-être lui aussi du Ciel.
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