Pour les plus sceptiques, les plus paranoïaques et autres stupides zététiciens, les chiffres sont vérifiables en suivant ce lien. Pour les autres, il suffit d’ouvrir les yeux et de voir les courbes ahurissantes de la mortalité de la tranche d’âge zéro-14 ans jusqu’à la 51e semaine 2022 dans les 27 pays européens. En 2020 la courbe grise est très basse, elle commence à partir de la 38e semaine de 2021, a augmenté de manière inquiétante, elle finira par exploser comme vous pouvez le remarquer en bleu ciel en 2022 ! Il s’agit ici encore une fois des enfants qui ne sont pas concernés par le Covid-19 car la maladie ne les touche pas comme tout le monde a pu le constater; même les plus malades parmi eux. L’excuse des comorbidités ne tient pas chez les enfants car la France a comptabilisé seulement 5 décès en 2020, la moyenne d’âge des décès étant de 82 ans, supérieure de 3 ans à l’espérance de vie des hommes français.
On peut être encore plus précis pour cette tranche d’âge des 0-14 ans en y ajoutant les années 2017, 2018 et 2019, ce qui permet de constater que la mortalité était encore inférieure à ce que l’on constate en 2021 et 2022 :
On peut également faire le même constat avec la tranche d’âge des 15-44 ans puisque la mortalité est largement supérieure en 2021 puis encore plus en 2022 par rapport à ce qui a été constaté les 2 années précédentes c’est-à-dire 2020 et 2019 :
Voici une copie de la lettre envoyée par le Docteur Peter McCullough au Journal scandinave d’immunologie dans laquelle il parle de cette surmortalité très inquiétante sur cette tranche d’âge des 0-14 d’autant que c’est celle qui a été le moins injectée si on devait la comparer à la population active obligée de le faire si elle voulait continuer à travailler :
Scand-J-Immunol-2022-Polykretis-Rational-harm‐benefit-assessments-by-age-group-are-required-for-continued-COVID‐191