C’est une excellente nouvelle que de constater ce désastre de la campagne de vaccination extrêmement coûteuse contre le papillomavirus malgré une propagande phénoménale du gouvernement qui a utilisé les médias et la peur pour pousser des jeunes enfants pas du tout concernés par la maladie à se faire injecter des soupes douteuses fabriquées par l’industrie pharmaco-chimique. Il est donc très utile d’informer nos concitoyens et de continuer à faire ce travail de contre propagande. Il n’est pas question d’imposer quoi que ce soit mais de proposer aux gens de réfléchir et de se renseigner correctement avant de faire un choix sanitaire qui peut avoir des conséquences graves sur leur santé. Il est possible à chacun de vérifier ces informations en multipliant les lectures et les recherches.
Nous en profitons du coup pour vous rappeler l’existence de la conférence du Dr Gérard Délépine présentant son livre Hystérie vaccinale. Gardasil et cancers : un paradoxe, dans lequel il parle longuement de cette mascarade sanitaire qui n’a absolument aucune base scientifique et qui est dangereuse pour la santé de nos enfants.
Selon les données de l’ANSM datant de fin octobre, que franceinfo a pu consulter vendredi 1ᵉʳ décembre, seuls 2,5% des collégiens de 5ᵉ se sont fait vacciner contre les papillomavirus.
Ce chiffre, qui est donc un résultat intermédiaire, est loin des 30% voulus par le gouvernement pour cette première campagne de vaccination au collège.
La campagne de vaccination a débuté en septembre et elle s’est poursuivie en novembre. Bientôt, les premières injections seront terminées. La deuxième dose doit ensuite être administrée six mois plus tard et avant la fin de l’année scolaire. Le vaccin permet de prévenir les papillomavirus qui peuvent donner lieu ensuite à certains cancers, dont le cancer du col de l’utérus.
Dans son point de surveillance sur la campagne de vaccination, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), a comptabilisé 20 000 élèves de 5ᵉ ayant reçu une première injection du vaccin contre les papillomavirus fin octobre. Sur 800 000 élèves scolarisés en 5ᵉ, ça fait donc 2,5%.
Pas de nouveaux risques identifiés
Selon ce premier bilan, l’ANSM n’a pas identifié de nouveaux risques liés au vaccin, dans le cadre de cette campagne nationale de vaccination des élèves de cinquième contre le papillomavirus.
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Photo d’illustration : Une élève de 5e se fait vacciner à l’école contre le papillomavirus le 9 octobre à Rennes. (DAMIEN MEYER / AFP)
Radio France1ᵉʳ décembre 2023