En d’autres termes, toutes les restrictions imposées à la Russie se sont retournées contre nous avec une destruction méthodique de toute l’industrie française et un appauvrissement de la population via une inflation désastreuse. Nous n’avons même pas assez d’essence pour travailler et circuler, sans parler de l’explosion du prix du gaz et de l’électricité dont les conséquences seront irréversibles. Pendant ce temps, la France et l’Union européenne continue d’inonder l’Ukraine de milliards d’euros dont on ne connaît même pas la provenance puisque cet argent n’existe pas. Ces informations ne proviennent pas d’un obscur site “Complotiste” mais bien de l’AFP comme vous pouvez le constater ci-dessous ! Nous sommes donc à des années-lumière des menaces de l’incompétent Bruno Le Maire qui voulait mettre à genoux l’économie russe il n’y a pas si longtemps…
Loin des prédictions internationales apocalyptiques de mars, le FMI prévoit désormais une baisse de 3,4 % du PIB russe en 2022.
En septembre, Vladimir Poutine avait déjà estimé que « le pic » des difficultés était « passé », avec « un taux de chômage au plus bas » à 3,8 % et « une inflation en baisse » à 13,7 % sur un an.
Pour le FMI, cela s’explique par « la résilience des exportations de pétrole brut et de la demande intérieure avec un soutien accru des politiques budgétaire et monétaire et un rétablissement de la confiance dans le système financier ».
Toutefois à plus long terme, l’économie russe va se retrouver de plus en plus dépendante de la manne énergétique, tandis que les secteurs à haute valeur ajoutée risquent d’accentuer leur retard.
Grâce à la manne énergétique et en dépit des sanctions, la Russie résiste. Plein emploi revendiqué, inflation en baisse, des prévisions de récession moins fortes qu’attendu : l’économie russe affiche de la résilience, mais les défis à relever à plus long terme restent multiples.
Selon une prévision révisée du FMI mardi, le PIB russe devrait se contracter de 3,4 % en 2022, loin des prédictions internationales apocalyptiques de mars, dans la foulée de l’intervention militaire en Ukraine. L’institution a également constaté dans un rapport « la résilience des exportations de pétrole brut et de la demande intérieure avec un soutien accru des politiques budgétaire et monétaire et un rétablissement de la confiance dans le système financier ».
La Russie a réussi « à s’adapter »
Vladimir Poutine s’était déjà vanté en septembre face à des décideurs économiques russes d’ « une situation qui se normalise », « le pic » des difficultés étant à ses yeux « passé ». Selon lui, cela se traduit notamment par « un taux de chômage au plus bas », à 3,8 %, et par « une inflation en baisse », à 13,7 % sur un an, après avoir battu des records au printemps dans la foulée des premières sanctions internationales.
« On peut estimer que l’impact des premières sanctions est passé, notamment les effets sur le secteur financier », reconnaît Elina Ribakova, économiste en cheffe-adjointe à l’Association des grandes banques et institutions financières mondiales (IIF). « La Russie a réussi à se préparer et à s’adapter aux sanctions »…