Comme vous pouvez le constater dans cet article de mars 2021 de Sud-Ouest, Le professeur en pharmacologie Mathieu Molimard a osé affirmer que les injections d’ARN messager permettaient de faire baisser la contagiosité de 80 %, ce qui est aujourd’hui totalement réfuté ! Tout le narratif officiel de la Doxa s’est effondré et on se demande bien comment ces injections peuvent être efficaces alors qu’il faut les renouveler tous les 4 mois ! Faut-il rappeler qu’initialement il suffisait de faire 2 injections espacées de 3 semaines pour être protégé à vie ! Enfin, si la vaccination permettait de protéger contre la contagion dans un pays comme la France où 80 % de la population est doublement vaccinée (taux très largement supérieur au taux d’immunité collective pour un virus avec un R0 inférieur à 1,5) : pourquoi on constate de nouvelles vagues de contaminations ?
Mathieu Molimard est un des pires propagandistes covidistes depuis le début de la crise sanitaire. Il cumule d’ailleurs un nombre très important d’articles dans la presse-papier pour des raisons qui laissent dubitatifs.
Publié le 31/03/2021 à 19h59
Toutes les études scientifiques concordent. On savait que la vaccination anti-Covid prévenait la maladie, mais aussi, désormais, sa transmission. Explications
Le professeur de pharmacologie Mathieu Molimard, chef du service de pharmacologie médicale du CHU de Bordeaux, l’a annoncé mardi soir et c’est une très bonne nouvelle. Et l’on sait aujourd’hui qu’elles sont rares. « La vaccination, se réjouit-il, prévient la transmission de la maladie. Ce qui signifie, qu’une fois bien vacciné, avec les deux doses, tous vaccins confondus, nous sommes non seulement protégés face aux formes graves ou juste symptomatiques de la maladie, mais en plus, ce qui jusque-là n’était pas prouvé, nous réduisons le risque de transmettre le virus. »…
Le virus n’entre plus dans nos cellules
« Nous avions des faisceaux d’arguments pour espérer que la transmissibilité du virus ne soit plus possible, remarque le professeur Molimard, mais rien de très sûr. En science, un effet n’existe pas tant qu’il n’a pas été démontré, et non l’inverse. En clair, le doute est notre quotidien. Certes, nous n’avons pas d’exemple de virus respiratoire qui, après vaccination, soit encore diffusé par un porteur sain, parce qu’a priori, le virus est très vite repéré par le système immunitaire quand il rentre dans nos cellules pour se multiplier. Une étude publiée dans “The New England journal of medicine” a montré chez les singes dont certains ont été vaccinés, et d’autres pas, comment les vaccinés éliminent le virus très vite. Et qu’ils ne le transmettent pas. »
“Tant que la population n’est pas plus largement vaccinée, le risque est encore là”
« Chez les humains, même constat, reprend le pharmacologue. Ainsi, en Israël, l’efficacité du vaccin ARN messager Pfizer pour prévenir l’infection asymptomatique est de 90 % sept jours ou plus après la deuxième dose. Pour l’AstraZeneca, la dose standard du vaccin a réduit la positivité de la PCR de 67 % et, après la deuxième dose, il réduirait le nombre d’individus infectés. Pour le Janssen, une seule dose réduirait de 74 % la survenue d’une infection asymptomatique. En population, chez 39 156 patients asymptomatiques qui ont fait une PCR systématique, la vaccination a réduit de 80 % la probabilité d’être positif après la deuxième dose. »
Donc, les vaccinés ne sont plus transmetteurs, ni porteurs sains. « Pas encore à 100 % mais à 80 %, précise Mathieu Molimard, ce qui est formidable. Pour autant, tant que la population n’est pas plus largement vaccinée, le risque est encore là. Le message ne bouge pas : gardez les distances, le masque et le gel. »