Parallèlement au scandale des Twitter Files, le célèbre quotidien américain -The Wall Street Journal- vient de publier un papier amenant les preuves factuelles que le gouvernement américain a imposé aux entreprises détenant les réseaux sociaux les plus importants de censurer toute critique allant à l’encontre de la Doxa. L’affaire se déroule devant un tribunal du Missouri et de la Louisiane puisqu’une plainte a été déposée contre le gouvernement Biden. Nous apprenons que le 14 mars 2021, un membre de l’administration demande à Facebook de censurer des propos qui “seraient responsables d’augmenter l’hésitation en matière de vaccination” ! Encore une fois, c’est du jamais vu dans l’histoire de la politique et encore moins de la médecine. Ce n’est pas au gouvernement de dicter la vérité en matière de santé publique, certainement pas. De surcroît, ce n’est certainement pas à une entreprise privée comme Facebook, Google/YouTube ou Twitter… de le faire non plus, d’autant qu’ils n’ont absolument aucune compétence dans le domaine.
Le comportement de la Maison-Blanche n’a rien à envier à celui de la Corée du Nord. Toute personne voulant dévier du discours officiel, de la Doxa, doit être censurée, exclue de la société, diabolisée et criminalisée ! Comment des citoyens occidentaux instruits ont-ils pu tomber dans ce piège et valider cette censure folle qui d’ailleurs s’est avérée également fausse puisque tout ce qui avait été affirmé en mars 2020 s’est effondré aujourd’hui : l’origine du virus clairement laborantine, le Lancet gate, l’efficacité des injections d’ARN messager tellement catastrophique qu’elle nécessite des injections trimestrielles, l’imposition des confinements totalement inutiles et dangereux pour la santé publique, le masquage catastrophique des enfants, les effets indésirables des injections…
Le premier amendement de la Constitution US “interdit au gouvernement de s’engager dans une censure basée sur des points de vue“, tandis que “la doctrine de l’action de l’État interdit au gouvernement de contourner les restrictions constitutionnelles en subornant des entreprises privées pour accomplir indirectement des fins interdites”. On comprend également dans ces échanges que c’est bien le gouvernement qui mettait la pression sur les entreprises privées, un véritable harcèlement quotidien afin de censurer les citoyens.
Des documents récemment publiés montrent que la Maison Blanche a joué un rôle majeur dans la censure des Américains sur les médias sociaux.
Des échanges de courriels entre Rob Flaherty, directeur des médias numériques de la Maison-Blanche, et des dirigeants de médias sociaux prouvent que les entreprises ont mis en place des politiques de censure Covid en réponse à la pression incessante et coercitive de la Maison-Blanche, et non volontairement. Les courriels sont apparus le 6 janvier lors de la phase de découverte de l’affaire Missouri v. Biden, une affaire de liberté d’expression portée par les procureurs généraux du Missouri et de la Louisiane et quatre plaignants privés représentés par la New Civil Liberties Alliance.
Le 14 mars 2021, M. Flaherty a envoyé un courriel à un cadre de Facebook (dont nous avons expurgé le nom par courtoisie) avec pour objet « Vous cachez la balle » et un lien vers un article du Washington Post sur les propres recherches de Facebook sur « la propagation d’idées qui contribuent à l’hésitation à se faire vacciner », selon les termes du journal. « Je pense qu’il y a un malentendu », a répondu le cadre. « Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un malentendu », a répondu M. Flaherty. « Nous sommes gravement préoccupés par le fait que votre service est l’un des principaux facteurs d’hésitation en matière de vaccins, un point c’est tout. . . . Nous voulons savoir que vous faites des efforts, nous voulons savoir comment nous pouvons vous aider, et nous voulons savoir que vous ne jouez pas un jeu de dupes. . . . Tout cela serait beaucoup plus facile si vous étiez francs avec nous »…
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8 janvier 2023
Titre de l’article original en anglais : The White House Covid Censorship Machine
Traduction : Lelibrepenseur.org avec DeepL Translator