Qui diffuse les fake news en France avec des conséquences dramatiques sur la santé des gens ? Qui ment et veut semer le doute dans les esprits en suivant la stratégie des lobbyistes qui le font depuis l’accusation de cancer suite à la consommation de tabac ? C’est notre cher Patou national ! Ce clown qui passe son temps à insulter les meilleurs experts en santé et médecine alors qu’il ne sait même pas ce qu’est une mitochondrie ! La vérité finit toujours par s’imposer, c’est une loi immuable.
Les experts du Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides (FIVP) ont reconnu, dans le cas de Théo, un adolescent de 16 ans, un lien de causalité entre l’exposition au glyphosate de sa mère pendant sa grossesse et les graves malformations dont il est atteint depuis sa naissance. Une décision qui sonne comme un désaveu pour la Commission européenne, qui a proposé, en septembre, de prolonger l’autorisation du désherbant.
Alors que la Commission européenne a proposé le 20 septembre dernier, à la stupeur générale, de renouveler l’autorisation du glyphosate, cet herbicide reconnu dangereux pour la biodiversité et la santé humaine par de nombreux experts, la nouvelle sonne comme un désaveu pour l’exécutif européen.
Un possible lien « de causalité entre la pathologie de l’enfant et l’exposition aux pesticides durant la période prénatale du fait de l’activité professionnelle de l’un ou des deux parents » a en effet été reconnu par les experts du Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides (FIVP).
Un lien entre le glyphosate et de graves malformations
Ces derniers ont statué sur le cas de Sabine Grataloup, une femme exposée en 2016 au Glyper, un herbicide à base de glyphosate, alors qu’elle était enceinte de son fils Théo. Aujourd’hui âgé de 16 ans, l’adolescent est atteint, depuis sa naissance, de graves malformations du larynx, de l’œsophage et du système respiratoire, ayant imposé cinquante-quatre interventions sous anesthésie générale, destinées à reconstruire ses systèmes digestif et respiratoire.
La décision du FIVP communiquée à la famille, il y a plus d’un an, a été tenue jusqu’ici tenue secrète pour protéger le jeune homme d’une surexposition médiatique et des « attaques publiques » selon la mère de famille, « très dures », notamment « sur les réseaux sociaux »…